
Le tabou de la violence est sur le point de tomber
Toutes les grandes crises de l’Histoire se sont terminées par un épisode très violent. La crise d’aujourd’hui n’en fera pas l’économie.
Toutes les grandes crises de l’Histoire se sont terminées par un épisode très violent. La crise d’aujourd’hui n’en fera pas l’économie.
Quand un pouvoir s’effondre, il a recours à TOUTES les extrémités pour tenter de survivre. Les jérémiades ne sont pas de mises.
Quand la violence se retourne contre ceux qui l’exercent, on appelle ça de la légitime défense. Ou une révolution.
Basculement de l’opinion, régression infantile du pouvoir, radicalisation des insurgés… les signes emblématiques d’une nouvelle révolution.
Un billet de yetiblog datant du 16 mars 2008. Une fois expurgée d’exemples trop datés, cette réflexion est d’une actualité brûlante.
Lorsque les émeutiers commencent à répliquer à la violence répressive du pouvoir, alors est enclenchée l’engrenage d’une guerre civile.
Le gilet jaune et le Joker : deux symboles emblématiques de l’insurrection, différents, complémentaires… et pour tout dire fort logiques.
Le reportage implacable d’une journaliste anglaise plongée au cœur d’une terrible répression policière à Paris. Un climat de guerre.
Sophie Tissier, Gilet jaune, remet les pendules à l’heure face aux vieux croutons qui pleurnichaient sur les « violences » et quelques magasins saccagés lors de l’acte 18.
Vincent Cespedes, philosophe, recadre tout un plateau Cnews sur la question de la violence.
Faute de RIC, la violence populaire montera en puissance de façon tout à fait logique et légitime.
Mercredi soir sur le plateau de BFMTV, quatre Gilets jaunes face à deux ministres. Incompréhension totale.
Une interview sans langue de bois de l’ex députée EELV, Isabelle Attard. Ses thèmes de prédilection : l’inutilité des manifestations à la papa, la grève générale, l’importance déterminante de la violence en politique.
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