
Dorival Caymi : « O morena do mar »
Connaissez-vous Dorival Caymmi ? Dorival Caymmi (1914-2008) est le précurseur de la chanson populaire brésilienne. Célèbre notamment pour ses chansons inspirées de la mer. Ma préférée, « O morena do mar ».
Connaissez-vous Dorival Caymmi ? Dorival Caymmi (1914-2008) est le précurseur de la chanson populaire brésilienne. Célèbre notamment pour ses chansons inspirées de la mer. Ma préférée, « O morena do mar ».
Note du Yéti : pour vous permettre de casser la croûte entre les deux réveillons de fin d’année, cette interview magistrale et lumineuse d’Emmanuel Todd donnée au Point en décembre 2011 (avant de se laisser contaminer par le << hollandisme révolutionnaire >> !!!)
Regardez bien la vidéo qui va boucler ce court billet en guise de cadeau de Noël et d’étrennes réunis. C’est ma mioche de dix-huit berges qui vient de me faire découvrir ça. Regardez bien la jeunesse du chef d’orchestre, Gustavo Dudamel (né en 1981).
Allez, je vous le lâche tout de suite, mon bilan 2012. Parce qu’après ce sera bousculade rituelle au portillon, comme d’hab’. Et moi, à ce moment-là, permettez, je serai plus porté sur le bouchon que sur les constats ronchons. Sur ce, je vous jure que mon présent titre n’est pas inspiré par un excès prématuré de bulles.
Très intéressante tribune dans le Monde sur la résistance à Notre-Dame-des-Landes. Le texte émanait d’un groupe de trois opposants sur la « zone à défendre » (ZAD). Le trio tenaient à se démarquer de quelques leaders médiatiques auto-proclamés présentant le mouvement de protestation comme essentiellement non-violent.
Faut que je raconte celle-ci ! Les plus fidèles lecteurs se rappellent peut-être ma décision unilatérale de suspendre le paiement de mes échéances de prêts bancaires pour des raisons de priorités personnelles. Les réactions de mes banques ont été, disons diverses, et comme nous allons le voir, parfois assez cocasses.
À peine quitté leurs fonctions, nos deux derniers présidents de la République se sont vus poursuivre derechef par la justice. Et même condamné, pour le plus vieux des deux, pour des faits commis avant sa période d’exercice. Ce qui fait que nous eûmes au moins un malfaiteur comme président de la République pendant douze ans. En attendant le verdict pour le second !
Elles sont terribles, ces périodes de crises exacerbées qui ébranlent nos certitudes, pulvérisent les cadres sécurisants que nous nous imposions jusqu’alors. Le doute nous assaille. Notre assurance vacille. Tenez, notre sacro-sainte démocratie, par exemple. Et si c’était elle, le problème à résoudre ?
Il est de notoriété que la banque Goldman Sachs paria sur la chute du système en le dépeçant d’importance avant qu’il ne fut trop tard. Comme font d’ailleurs aussi conseils d’administration et actionnaires en vidant leurs propres entreprises de leurs substances (plan sociaux à la pelle, dividendes et primes obscènes). Et si nos dirigeants politiques procédaient de même avec les caisses publiques du pays ?
Ça se passait chez Busnel, sur France 5, le 29 novembre. Jean-Claude Guillebaud disait que le mot qui l’agaçait désormais le plus, c’était le mot « crise ». Nous n’étions plus en crise, expliquait-il, mais entrés en phase de << Grande mutation >>. Que Guillebaud me pardonne le vol de cette expression. Je l’emploierai désormais en lieu et place de la « Grande perdition ».
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