Pas d’autre solution : les virer rapidement… ou souffrir mille morts

S’il n’en fallait qu’un pour faire déborder le vase de la colère noire, c’était ce fossile de Duhamel :

Mon pote le Partageux est venu enfoncer le clou en répliquant à la canaille :

Des prédateurs tout juste bons à ronger les os d’une société malade

Bon, allez, n’allons pas aussi loin que ne va l’ironie mordante du Partageux. N’empêche qu’il n’y a plus trente six alternatives qui se présentent au peuple français aujourd’hui.

  • Le monde dans lequel nous croyions encore pouvoir vivre il y a deux mois est mort et ne se relèvera pas.
  • L’autre raison pour laquelle le système ne redémarrera pas est que les prédateurs qui sont aujourd’hui aux manettes sont aussi nuls en économie qu’ils l’étaient dans la lutte contre la pandémie. Tout juste bons à ronger les os d’une société malade
  • Mais vous pouvez être sûrs que ceux qui se croient encore aux commandes de la machine brisée, vont TOUT FAIRE pour la faire redémarrer, y compris briser la population en essayant de la ponctionner au maximum, briser ce qui restait de nos hôpitaux, de nos écoles, de nos services dits publics…

Virer les prédateurs TOUT DE SUITE !

Alors, il n’y a pas trente-six solutions si nous voulons échapper à l’enfer : nous débarrasser des prédateurs, et je dis bien nous en débarrasser vite. Le temps n’est plus aux tergiversations, à l’indignation répétitives, aux “punchlines” stériles, plus aux manifs Nation-République de protestation, plus aux lettres ouvertes, plus aux pétitions, ni aux cahiers de doléances, ni aux recours judiciaires (la justice est entre leurs mains, comme la police)…

En réalité, plus qu’une solution : virer les prédateurs, les virer sans façon, TOUT DE SUITE, qu’ils partent d’eux-mêmes ou que nous les chassions par la force, par tous les moyens. On ne discute plus, on dégage. Pas d’autre solution.

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Un voyageur à domicile en quête d'une nouvelle civilisation.