6 heures 32 du matin, tu viens de te lever, de faire couler ton premier café (auquel tu ne touches pas encore parce qu’il est trop chaud), tu ouvres machinalement ton ordinateur et tu tombes sur ça…
Les paroles du refrain courent encore dans ta tête après les dernières notes, tellement évidentes que tu te demandes comment il aurait pu en exister d’autres :
Tu no puedes comprar al tiempo
Tu no puedes comprar al sol
Tu no puedes comprar la lluvia
Tu no puedes comprar mi alegría…
Devant tes yeux, dansent le chiffre vertigineux du nombre de vues Youtube de cette vidéo : 114 997 751 !!! Un autre monde existe et bats que tu ne soupçonnais pas… ou que tu avais oublié.
Mais déjà s’enchaîne une autre vidéo (et tu n’as toujours pas touché à ton café) :
Premières lueurs de l’aube, tu sors sur le pas de ta porte. La froidure du vent d’est te saisit (ton café aussi est froid, mais tu l’as bu quand même avec délectation)…
Tu ne peux pas acheter le temps
Tu ne peux pas acheter le soleil
Tu ne peux pas acheter la pluie
Tu ne peux pas acheter ma joie
