[((/images/souviens-toi.jpg|souviens-toi|L))|http://blog.monolecte.fr/public/vote-page1.jpeg]La démocratie parlementaire à l’occidental a durablement déposé son bilan. En l’état de décomposition où elle se trouve, plus rien n’est à attendre d’elle, certainement pas un espoir de liberté, ni une aspiration à l’égalité, encore moins une perspective de fraternité. La démocratie représentative, ce » »pire des régimes à l’exception de tous les autres » »*, est aujourd’hui une idée inéluctablement » »corrompue » »**. Non au sens où l’entendait la vieille extrême droite parlementaire ( » »tous pourris » »), mais parce que les garde-fous qui en garantissaient le bon fonctionnement ont cédé : des « représentants » qui ne se soucient plus de représenter qui que ce soit sinon quelques commanditaires privés, des contre-pouvoirs (médias, justice…) affidés ou jugulés, un « peuple » qui cède aux peurs les plus primales ou dont on nie les quelques velléités de révolte.