LA PRIME CACHE-MISÈRE
Par delà les gamelles fracassantes qu’il subit en cette fin d’année 2009 (fiasco du débat sur l’identité nationale, affaire ratée des centrales nucléaires d’Abu Dhabi, retoquage de la taxe carbone par le Conseil Constitutionnel…), le pouvoir élyséen n’a plus guère à faire valoir dans son bilan économique que les effets « triomphaux » de la dispendieuse prime à la casse automobile.