
Il y a quelques mois, à l’ère pré-vaccinale, toutes les morts du covid étaient exclusivement attribuées au coronavirus, sans mention des nombreuses comorbidités dont étaient atteintes la plupart des victimes. Or voilà qu’aujourd’hui, on nous déterre la moindre comorbidité pour justifier le décès d’une personne vaccinée.
Le cas de la sportive de haut niveau Julie Le Galliard est emblématique à ce sujet. Frappée par le covid sitôt avoir été double-vaccinée Pfizer, c’est au covid lui-même, puis à une comorbidité “fragilisante” sortie du chapeau qu’on attribue aujourd’hui son décès. Non lieu pour le vaccin Pfizer ! Et qu’importe s’il n’a pas protégé la jeune femme des « formes graves de la maladie », comme on nous l’assène à longueur de propagande.
Comme cette 1ère thèse passe mal, on insinue que Julie Le Galliard serait morte d’un déficit immunitaire (faut savoir !).
— Pierrick Tillet (@yetiblog) November 16, 2021
Question : pourquoi avoir pris le risque de vacciner une jeune femme fragilisée par son immunodépression ?https://t.co/KxJ7Qqkq9T
Les révélations troublantes de la base EudraVigilance
De quelles comorbidités secrètes souffrent donc les personnes, de plus en plus nombreuses, à être frappées de myocardites et de péricardites sitôt après avoir reçu leurs doses réglementaires de vaccin, que ce dernier vienne de chez Pfizer, Moderna, Astrazeneca, Janssen ou autres ?
1/n Péricardites et myocardites associées aux vaccins covid dans EudraVigilance au 13 novembre 2021, tous les âges, par semaine.
— pro-science, anti-BS™ (@GabinJean3) November 16, 2021
il s’agit du nombre de signalements pour chaque semaine (pas du cumulatif, malgré les apparences).
Merci à @78twitos pour ce rapport et les suivants. pic.twitter.com/x3DqkxiDRt
En se plongeant un peu plus avant dans les données de la base EudraVigilance (qui recense officiellement les effets négatifs des médicaments en Europe), on constate que ces fléaux cardiaques touchent indifféremment toutes les tranches d’âges (alors que le covid d’avant vaccin ne frappait essentiellement que les personnes les plus âgées et les plus fragiles). Le fait que nombre de sportifs en soient également victimes va-t-il signifier que la pratique intensive du sport est en elle-même une comorbidité aggravante ? Décidément, le discours officiel sur la pandémie tourne à l’eau de boudin.
Les 100 % de vaccinés de Gibraltar privés de fêtes de fin d’année
Mais le comble de l’absurdie atteint des sommets en haut du rocher de Gibraltar. La population adulte y est vaccinée… à près de 100 %. Or, devant la reprise exponentielle du nombre de cas positifs, toutes les festivités de fin d’année viennent d’y être annulées en catastrophe. Difficile il est vrai d’établir un confinement à l’usage exclusif des deux ou trois pékins rescapés de la folie génique… et du déferlement des comorbidités mentales collectives.
« Je me demande si le seul gars non vacciné dans tout le pays est assis là en se disant « comment cela peut-il être une pandémie juste à cause de moi ? ».
— pro-science, anti-BS™ (@GabinJean3) November 16, 2021
(@ianmSC) https://t.co/n39pmfZ4u7 pic.twitter.com/rzWepZIUcg