
Les vœux à la presse, prononcés ce mercredi 15 janvier par Emmanuel Macron, président par imposture de la République, ressemblaient à une terrible descente aux enfers.
Il y eut, inénarrable moment d’un pouvoir submergé par des infos qu’il ne contrôlait plus, l’attaque désormais archi-convenue contre les réseaux sociaux.
Emmanuel Macron dénonce « une forme d’ordre moral » sur les réseaux sociaux « qui doit nous préoccuper » pic.twitter.com/N85C3uZ7YP
— BFMTV (@BFMTV) January 15, 2020
Il y eut la déclaration de guerre imbécile à la France en colère. Une déclaration qui tombait bien : elle dédouanait d’avance la France en colère du sort cinglant qu’elle n’allait pas manquer de réserver à ce petit con.
«Il y a d’abord une violence qui s’est installée dans la rue » «il faut la réprimer, la combattre» «je serai intraitable sur le sujet»
Rassurez-vous, chers policiers, Le Roy Fou a décidé qu’on allait continuer à éborgner.#VoeuxMacron #GiletsJaunes #grevepic.twitter.com/61TTEyC6k5— Marcel Aiphan (@AiphanMarcel) January 15, 2020
Il y eut, dans les réactions à ces vœux totalement surréalistes, une réaction à laquelle ne s’attendait certainement pas l’auteur de cette lamentable logorrhée :
«Vous avez eu sur la presse des mots incompréhensibles. Nous espérons que cela relève du passé. Chercher à identifier les sources, c’est s’en prendre à la liberté de la presse.» Face à E.Macron, les mots précieux du nouveau pdt de l’’@APresidentielle @olivierbost pic.twitter.com/bszIKVk7mb
— Ariane Chemin (@ArianeChemin) January 15, 2020