Vaccination : une psychose de masse

Dr Peter McCullough

Face à l’épidémie de coronavirus et aux dégâts des obligations vaccinales, explique le Dr McCullough, les citoyens de nos sociétés malades ont sombré dans une “psychose de masse”, une torpeur stupéfiante qui les laisse sans réaction face aux conséquences meurtrières de produits aussi dangereux qu’inutiles.

Cette apathie, cette résignation – qu’on retrouve chez les humains à l’approche de la mort et qui fera que les parents accepteront bientôt de laisser inoculer ces poisons à leurs propres enfants sans broncher – sont les signes morbides des sociétés condamnées.


Une psychose de masse, par le Dr Peter McCullough

Quand les gens décèdent après le vaccin, il y a un manque d’indignation stupéfiant de la part des familles.

C’est important. Des jeunes continuent de mourir sans qu’il n’y ait de signes de révolte ou d’inquiétudes de la part des familles, c’est ce qu’on appelle la “psychose de masse”.

Les gens sont fermés, dans un état de zombies, ils sont sans réaction à la perte d’un proche, car c’est arrivé après avoir reçu une seringue hypodermique du vaccin Covid.

Il y a un voile de honte, de culpabilité, de remords et des notions tordues qui s’entremêlent : “C’était pour la santé publique », “pour le bien de la société”, etc.

C’est déroutant.

Un enfant meurt du cancer. Les membres de sa famille démarrent une campagne de financement pour aider la recherche ! Quand un enfant décède d’une cardiomyopathie hypertrophique, la famille parraine des programmes de dépistage.

Mais là, pour les vaccins covid, il y a quasiment une absence uniforme de réactions de la part des familles qui perdent un proche.

(Traduction : Jeanne)

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