Une épidémie sans malade : rejoindre les survivants !

Nous vivons dans un monde crépusculaire frappé par une épidémie désormais sans malade, ni hospitalisation, ni cas critique, ni mort (sauf de la tête !).

Autour de nous errent des esprits perdus qui choperaient l’AVC direct s’ils apprenaient les conditions sanitaires de fabrication de leurs masques de protection.

 

DON’T FORGET YOUR MASKS.

Publiée par Jim Fine sur Vendredi 3 avril 2020

Et parmi cette foule de zombies, des rats immatures qui nous pondent leur énième étude “scientifique” bidonnée censée démontrer la toxicité du seul médicament qui soigne – l’hydroxychloroquine – étant entendu que dans un monde de malades, ce sont les rares individus restés sains de corps et d’esprit qui sont désignés comme anormaux.

Dans un précédent billet d’humeur, j’avais émis l’hypothèse que quelques paires de claques ou coups de pieds au cul suffiraient à balayer toute cette bêtise. Mais non, trop de têtes à claques, trop de culs détraqués de la tête.

Il nous faut fuir cette épidémie de cinglés mentaux et rejoindre le maigre groupe des survivants. Faciles à trouver : ce sont ceux qui embrassent, qui ont l’étreinte chaleureuse,  la poignée de main franche et solide. Vous avez remarqué, soudain plus de heurts de pommettes par convention fatiguée, de lèvres qui se tordent pour se dérober, de pognes molles et visqueuses. Le tri est fait. Cette épidémie aurait-elle finalement du bon ?

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Un voyageur à domicile en quête d'une nouvelle civilisation.