Une crise ni sanitaire, ni politique, mais une entreprise criminelle démente

Crime d'État
(Montage photo : MÈME PLUS ULTRA)

Il y a bien un moment où ils nous faudra nous rendre à l’évidence : la crise que nous traversons n’est ni une crise sanitaire, ni une crise politique, mais une entreprise criminelle démente qui doit être considérée et traitée comme telle.

Le côté criminel de cette traversée obscurantiste à prétexte pandémique ne peut échapper à quiconque a encore un soupçon de lucidité. Trop de mensonges grossiers chez les criminels, trop de contes à dormir debout, trop de contradictions sur les masques, le confinement, la nécessité d’une vaccination hasardeuse après l’interdiction tracassière des soins, l’obligation d’un pass sanitaire pour atteindre à l’immunité définitive… Pourquoi pas le paradis éternel pour avant la mort pendant qu’on y est !

Si cette entreprise touche autant à la parodie de mauvais goût, c’est en raison de la situation désespérée des criminels. Ceux-là tuent de plus en plus sporadiquement et, dirais-je, de plus en plus bêtement à mesure qu’ils sentent la situation leur échapper et s’affolent.

La pulsion de soumission à l’autorité (même criminelle, même démente)

Mais alors pourquoi cette situation, plus digne d’une pochade grotesque que d’un acte froidement calculé, tient-elle autant la distance dans le temps ? En raison de la pulsion de soumission d’une grande majorité de la population à l’autorité désignée, même criminelle, même démente. Cette docilité à l’ordre établi s’exprime de plusieurs façons :

  • la croyance affirmée de certains en la toute-puissance de cet ordre établi malgré les évidences (le Pr Henri Laborit disait que le cortex humain servait surtout à donner des excuses à nos pulsions inconscientes de domination ou de soumission) ;
  • la pulsion de peur qui nous fait nous soumettre à l’ordre établi par crainte de ses punitions (ah, l’amende de 135 euros !)
  • la pulsion de confort : se faire vacciner pour pouvoir aller au ciné, au restau ;
  • la pulsion de diversion : affecter de croire que la solution à notre mal sera trouvée dans le cadre d’institutions politiques verrouillées, avec de vieux acteurs réchauffés (la prochaine présidentielle, par exemple) ;
  • la protestation de pure forme qui consiste à gueuler contre l’autorité tout en reconnaissant implicitement sa suprématie : la croyance quasi religieuse en la réalisation d’un plan diabolique ourdi par une autorité hors-sol (le mythe du Great Reset), la protestation contre le pass sanitaire tout en s’y soumettant…

Ces résistants qui finiront par imposer le nouvel ordre établi

En réalité, fort peu nombreux sont ceux qui parviennent à échapper à la grille hiérarchique de soumission à l’ordre établi. Dans sa fameuse expérience visant à évaluer le degré d’obéissance des citoyens, le Pr Milgram parvint à décider ses cobayes humains (rémunérés) à infliger des punitions sous forme de décharges électriques à des coupables désignés. En réalité, les expérimentateurs et les “coupables” étaient des acteurs et aucune décharge électrique n’était délivré. Mais les cobayes l’ignoraient et finirent malgré tout par obéir aux ordres ineptes qui leur étaient donnés.

Seul, 15% d’entre eux refusèrent de s’exécuter. Regardez bien, c’est à peu près le pourcentage de Français qui résiste encore à la première dose de vaccin.

Lorsque les vents auront tourné, lorsque le vieil ordre établi se sera totalement effondré (ce qui ne peut plus manquer d’arriver), ce sont eux, les résistants, qui imposeront le nouvel ordre, auquel se rallieront les masses soulagées. La seule tâche qui importe désormais aux résistants est de préparer ce nouveau monde, calmement, posément, patiemment. Leur heure approche.

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Un voyageur à domicile en quête d'une nouvelle civilisation.