
Un “président” réduit à ne plus faire que des visites surprises (ou sous escortes blindées), comme ici à Rouen où il a mis un mois à se rendre, quasi incognito, un mois après la tragédie de Lubrizol.
De peur d’une mobilisation populaire trop forte contre les couacs du gouvernement, le Président de la République, @EmmanuelMacron, n’est même pas en mesure d’annoncer officiellement son déplacement à #Rouen dans le cas du désastre industriel et environnemental de #Lubrizol. pic.twitter.com/d45diWY11z
— Georges Kuzmanovic (@Vukuzman) October 30, 2019
Un « président » racaille, accueilli comme il se doit – c’est-à-dire comme un malpropre – par les citoyens de ce pays.
« Vous n’arrêtez pas de faire passer des lois par derrière pour nous voler, vous allez déclencher une guerre civile. »
Un “président” hué, bafoué, humilié, qui n’a plus de “président” qu’une étiquette usurpée, piétinée, détestée.
La HONTE pour #Macron hué « Macron démission partez partez! » scandent les rouennais ?
#rouen #Lubrizol #GiletsJaunes pic.twitter.com/Xd1I9ttVfu— Le Général ? (@leGneral2) October 30, 2019
#Macron Sifflé et hué à #Rouen UNE VRAIE HUMILIATION en direct sur BFM avec le commentaire de journaliste ??? ? pic.twitter.com/7q3JhHNPeQ
— Le Général ? (@leGneral2) October 30, 2019
La popularité de #Macron à #Rouen fait plaisir à voir ?
Il restera une tâche de la Vième République et il faudra des années pour reconstruire la France après son départ !#Lubrizol @paris_normandie pic.twitter.com/f0lfdokv1p#Macron
— Titi.art .? #JusticePourSteve (@Titiart1) October 30, 2019
Comment croyez-vous que tout ce bordel va devoir se terminer (je veux dire pour Macron et sa bande) ?