
Après les déclarations de Justin Trudeau menaçant de geler les comptes bancaires des routiers du “convoi de la Liberté” et de leurs soutiens, il était intéressant de savoir comment ces derniers réagiraient et comment le premier ministre canadien mettrait ses menaces à exécution. Eh bien, quelques 48 heures après cette intervention comminatoire, le constat est sans appel. Les trublions du convoi de la Liberté continuent de bloquer Ottawa comme si de rien n’était :
?? Les pouvoirs » d’urgence » de Trudeau n’ont effrayé personne
— sergiodde (@sergiodde) February 16, 2022
Les manifestants pour la liberté à Ottawa célèbrent leur 19e jour consécutif d’occupation de la capitale nationale.
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?Les organisateurs du convoi pour la liberté d’#Ottawa se sont renseignés sur les nouvelles lois d’urgence de #Trudeau, et elles ne valent pas le papier sur lequel elles sont imprimées ???#ConvoyForFreedom2022 #TruckersConvoy2022 #Canada #Freedom #EmergencyMeasuresAct #liberte pic.twitter.com/hZEHzTOEOR
— Didier (@LetItShine69) February 17, 2022
Le constat d’échec du “Great Reset” ?
Le pire pour les dirigeants occidentaux serait que le point de rupture entre leur autorité et l’adhésion des populations soit acté de façon brutale. Le cas canadien, où Trudeau semble de plus en plus avoir perdu le contrôle de son pays, est emblématique à cet égard. Mais d’autres signes annonciateurs sont apparus ailleurs qui vont dans le même sens :
- le fait que des milliers de soignants aient préféré perdre leurs emplois et leurs revenus plutôt que de se laisser inoculer des substances douteuses ;
- la réticence de plus en plus marquée des citoyens à se faire administrer une troisième dose ou encore une seule première dose de vaccin à leurs enfants ;
- la poursuite ininterrompue des manifestations populaires aux quatre coins de l’empire ;
- le fait que beaucoup de dirigeants occidentaux abandonnent peu à peu les mesures de rétorsions à prétexte sanitaire, pass vaccinal compris.
Cette dernière tendance ne marque en rien un retour à la raison des dirigeants occidentaux, mais un échec pur et simple de ceux-là dans ce qui, au-delà d’être une épidémie, apparaissait surtout comme une “plandémie” pour reprendre en main un système en train de leur échapper. L’éxhec de ce “Great Reset” présomptueux semble patent.