
Bob Solo, plein les mirettes : je vous souhaite une belle journée
Disons que plus je rencontre la faune sauvage plus j’ai envie et besoin de la rencontrer, ça devient vital.
Disons que plus je rencontre la faune sauvage plus j’ai envie et besoin de la rencontrer, ça devient vital.
Toujours étonné de constater que même quand il m’a vu l’animal ne fuit pas.
Berry, c’est fini…! Je vais disparaitre quelques temps faute de connexion, j’espère pas trop longtemps. La bise, tenez bon, soyez forts.
Duos : mésanges charbonnières, tariers pâtres, rouges-queues. Et un duel entre une buse et une corneille.
Avec tout ça et le reste, une grave question se pose d’ores et déjà : pourra t-on faire tranquillement ses achats de Noël ?
Je suivais cette garzette en vol et si elle ne s’était pas posée juste là, je n’aurais jamais repéré ce héron bihoreau…
J’ai la cote avec les martin-pêcheurs en ce moment, j’en vois tout le temps.
Il s’agit, encore, d’éviter les pièges de la nostalgie, qui mènent inévitablement au chagrin. Je n’en ai pas toujours la force.
Je suis reparti ce matin sur la piste du héron pourpre. Chance : il y en avait trois, dont un en pleine pêche.
Mammatus en formation puis finalement résorbés. Vagues de nuages silencieuses sur l’océan du ciel. Mais, bon weekend tout le monde !
Vraiment de tout : des libellules, des hérons, des tomates, courgettes, haricots verts, concombres, poivrons, aromatiques…
De toute façon maintenant tout est sans toi. Mais je ne sais toujours pas vivre sans toi.
Comme le veut la tradition…
21 juin : solstice d’été et fête de la « musique des sphères » (plus quelques chats).
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