
Le retour aux frontières : en défense de François Ruffin
François Ruffin a suscité le tollé en en appelant, sur France Inter « au retour des frontières ». Il a pourtant raison et voici pourquoi.
François Ruffin a suscité le tollé en en appelant, sur France Inter « au retour des frontières ». Il a pourtant raison et voici pourquoi.
Le plan de relance de l’économie ne relancera rien, dit l’un. Il ne faut pas relancer le capitalisme, dit l’autre, il faut le tuer.
Avouons une certaine jouissance de voir les tontons Arnault et Squarcini se vautrer après leur tentative foirée d’infiltrer Fakir.
Une intervention de François Ruffin (Quartier libre, QG) qui pose le problème du prolongement politique à donner aux luttes sociales.
C’est François Ruffin qui pose la question au micro de Denis Robert sur Le Média : « Il est où le bonheur ? » Tout peut arriver…
« Je crois qu’on a des choses importantes à vous dire : on a un plan ! » (François Ruffin)
Malgré un livre et un film à succès, pas une seule interview en plateau de François Ruffin par les médias français depuis début 2019 ! Erreur enfin corrigée par Rémy Buisine (Brut).
François devient Ruffin en faisant vœu de réalité comme d’autres font vœu de pauvreté. Ce n’est pas exactement la même chose. C’est un peu la même chose.
Près de chez moi, comme les jonquilles annonçant le printemps, des Gilets jaunes sont venus refleurir le rond-point dont ils avaient été chassés, l’hiver et quelques salopards aidant.
« J’veux du soleil », un film de François Ruffin, et Gilles Perret sur les Gilets jaunes. Sortie en salle le 3 avril.
Aude Lancelin (Le Média) et François Ruffin (député LFI) appellent les Gilets jaunes à tenir bon et à ne rien lâcher.
François Ruffin et Julien Terrier, porte-parole des Gilets jaunes de l’Isère, réagissent au discours prononcé le lundi 10 décembre par Emmanuel Macron.
Un vif échange entre des Gilets jaunes de Ressons (60) et le « président Macron » (incarné par François Ruffin qui passait par là).
Le député François Ruffin rapportant les propos des Gilets jaunes de sa circonscription : « M. Emmanuel Macron doit partir. »
« Je suis un cahier de doléances ambulant, ce samedi 17 novembre, au milieu des gilets jaunes. C’est bien là ma place, c’est bien ça mon rôle » (François Ruffin, député).
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