Confusion au sommet : de l’eau dans le gaz entre le pouvoir et sa police
Trois derniers évènements survenus hier montrent une nette détérioration des rapports entre le pouvoir et son ultime rempart policier.
Trois derniers évènements survenus hier montrent une nette détérioration des rapports entre le pouvoir et son ultime rempart policier.
Le témoignage haut en couleurs de Geneviève Legay qui ne tourne pas autour du pot pour dire ce qu’elle pense. Une vraie Gilet jaune.
Lettre ouverte adressée aux forces de l’ordre par Geneviève Legay, 72 ans, grièvement blessée lors d’une charge de police le 23 mars 2018.
Lorsqu’une police nationale devient une vulgaire milice au service d’un régime corrompue, elle doit être d’urgence neutralisée.
Une interview de Jeremy Becue, 24 ans, tombé lui aussi dans la Loire le 22 juin, qui corrobore les deux précédents témoignages relayés ici.
Le reportage implacable d’une journaliste anglaise plongée au cœur d’une terrible répression policière à Paris. Un climat de guerre.
Un acte 36 des Gilets jaunes dédié à la mémoire d’Adama Traoré, mort lors d’une interpellation policière en 2016. Sa sœur Assa accuse.
Le témoignage édifiant d’Alexandre Langlois, secrétaire général du syndicat ViGi Police, suspendu de ses fonctions par le ministre Castaner.
Un témoignage symptomatique de l’attitude policière actuelle, entre désarroi, aveu d’impuissance et zèle imbécile.
Aucun des policiers coupables de violences policières contre le peuple ne mérite de rester dans les rangs de la police nationale.
Un comportement policier de plus en plus erratique qui témoigne d’une perte de contrôle du régime sur les évènements.
Le pouvoir affaibli n’a plus guère que sa police comme dernier rempart. Un rempart que les Gilets jaunes pourraient bien parvenir à dynamiter. En l’épuisant.
Quatre témoignages accablants sur le comportement de Rabah Souchi, commissaire de police à NIce, lors de l’acte 19 du 23 mars.
Un pouvoir qui laisse ses forces de l’ordre se livrer à des actions de violence désordonnées, méchantes, inutiles, est un pouvoir affaibli, vaincu, qui se dissout. La violence du désespoir.
Gestion du maintien de l’ordre par le pouvoir, instrumentalisation des forces de l’ordre, conditions de travail des policiers. Un témoignage d’Alexandre Langlois, secrétaire général du syndicat de police VIGI.
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