Viol à domicile : chronique d’un guet-apens, par Juan Branco
La racaille ne recule décidément devant rien. Juan Branco vient d’être accusé de viol, comme en son temps un certain Julian Assange. Récit par ”l’accusé”.
La racaille ne recule décidément devant rien. Juan Branco vient d’être accusé de viol, comme en son temps un certain Julian Assange. Récit par ”l’accusé”.
Juan Branco n’y va pas par quatre chemins (le yetiblog non plus). Son interview à propos de son livre « Abattre l’ennemi » par Éric Morillot sur Sud Radio.
Flagrant délit de mensonge pour Filipetti face à Branco. Les têtes du vieux monde n’en finissent pas de rouler dans le son du la honte et du ridicule.
L’interview exclusive accordée à sa sortie de prison par Piotr Pavlenski à Sputnik : un camouflet sans précédent pour la macronie.
Une interview de Juan Branco qui résume ce que le yetiblog chronique depuis 2005 : la désintégration d’un capitalisme devenu morbide.
Lorsque dans un conflit, la rupture est consommée avec le camp adverse, l’adversaire devient un ennemi. Or on ne discute plus avec un ennemi, on le combat jusqu’à ce qu’il tombe.
À propos d’un long texte où Juan Branco cogne à bras raccourci sur une cour médiatique vociférante mais touchée à mort.
Le succès du livre de Juan Branco : un camouflet cinglant pour les « grands médias » qui l’ont boycotté, sinon descendu en flammes. Et ce n’est pas le seul exemple…
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