
Le Grand jeu : ô ironies
Deux retournements géopolitiques : 1/ les anciens ennemis de la Syrie aux pieds d’Assad ; 2/ les talibans maîtres en Afghanistan.
Deux retournements géopolitiques : 1/ les anciens ennemis de la Syrie aux pieds d’Assad ; 2/ les talibans maîtres en Afghanistan.
Les attentats de Kaboul sont le funeste épilogue dans lequel, ô ironie de l’histoire, l’oncle Sam a une part de responsabilité énorme.
Deux nouvelles extrêmement intéressantes en provenance d’Afghanistan qui pourraient avoir des conséquences géostratégiques palpitantes.
Quelle image l’Occident va-t-il laisser au monde après ce départ pitoyable d’Afghanistan ? Le cadavre d’une civilisation.
Afghanistan : accumulant les bourdes, l’empire US a saccagé une position gagnante. Victoire à l’arraché : Russie.
Après l’effondrement éclair de l’empire US en Afghanistan, à quelles redéfinitions géopolitiques va-t-on assister en Eurasie ?
On voulait ne pas la voir, mais la voilà qui nous saute à la figure de partout : l’apocalypse tant redoutée est là.
Depuis le retrait des troupes US d’Afghanistan, la question n’est plus de savoir si les Taliban vont gagner, mais quand.
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