
Moins de deux ans après son arrivée au pouvoir « par effraction » (dixit lui-même) le Macron « jeune, moderne et dynamique », « surdoué », « brillant », blablabla, s’est donc fait déboulonner par un mouvement populaire spontané pourtant minoritaire mais toujours aussi déterminé.
Le banquier qui faisait président a en réalité cédé, assez rapidement finalement, et toute sa politique se résume désormais à une seule question : comment faire taire cette contestation.
Plus de matraque ou moins de matraque, plus de manifestants mutilés ou pas, plus de mensonges d’état ou non… Magnifique résultat !
Un imposteur cynique, méprisant…. et ridicule
La présidence jupitérienne était bien une fake niouze de première bourre, la fumeuse start-up nation a viré à la république Bénallière, le monarque d’opérette n’est plus qu’un maton-chef.
Il ne lui suffisait pas d’être un imposteur cynique et méprisant, il fallait qu’il soit un imposteur ridicule. C’est chose faite.
Hormis les séquelles des drames dont il se rend coupable semaine après semaine, il laissera moins de traces à la postérité qu’un chien qui lève la patte au coin de la rue.