
À mesure que s’étend l’épidémie de Covid-19 en France, le gouvernement en place multiplie les actes et les déclarations irresponsables, démontrant une incompétence et des carences inouïes qui mettent en grave péril sanitaire l’ensemble de la population.
On ne distribue pas de masques car les masques ne sont pas nécessaires aux personnes qui ne sont pas malades. Mais comme on ne dépiste pas car il ne sert à rien de dépister les gens qui ne sont pas (trés) malades, on ne sait pas qui est malade. Ça finit quand les âneries? https://t.co/rtsxXcBx7O
— Laurence Rossignol (@laurossignol) March 17, 2020
Ce sont donc les employeurs qui décident si l’on met notre vie en danger ou non ?
C’est à l’Etat de déterminer officiellement les activités essentielles à la nation !
Ce gvt choisit toujours l’argent avant la vie des gens.#droitderetrait #confinementjour2 #RestezChezVous https://t.co/ldj3fSsd7e
— François Boulo (@BouloGiletJaune) March 18, 2020
« Je suis partie en sachant que ces élections n’auraient pas lieu », « mascarade », Edouard Philippe averti le 30 janvier
Agnès Buzyn livre les dessous d’un scandale d’Etat et de la mise en danger de la vie d’autrui par Macron et son gvthttps://t.co/cEeV4Rcige via @lemondefr— François Cocq (@FrancoisCocq) March 17, 2020
Les cris d’alarme ignorés du personnel médical
Ce n’était pourtant par faute d’avoir été alerté par le personnel médical en première ligne sur le front sanitaire :
Pas de masque ni de test pour les soignants depuis des semaines et Sibeth NDiaye s’improvise encore virologue pour rassurer.
Il paraît qu’on a des usines de masques en France.
Qu’est-ce que vous foutez ?#ASKPPG #COVID2019 #COVID19 #SauvezLHopital pic.twitter.com/Hg8sUr3HR5— Marcel Aiphan (@AiphanMarcel) March 17, 2020
«Bien sûr que l’on craint un scénario à l’italienne», le témoignage de Sabrina Ali Benali, médecin aux urgences médicales de Paris (2/2)#coronavirus #COVIDー19 @DrSabrinaaurora pic.twitter.com/oUD9zYP7Fk
— RT France (@RTenfrancais) March 15, 2020
On renonce à intuber des personnes qui ont l’âge de nos parents. Ce n’est pas une simple grippe comme on nous l’a seriné pendant des semaines. Restez chez vous.
Coronavirus : le tri de malades en réanimation ? «Oui, c’est déjà arrivé» – Le Parisien https://t.co/beR5zgkHSL
— lasecrétaireduBâtonnier (@SecretaireduBat) March 17, 2020
Une alternative politique transitoire forte pour affronter l’urgence immédiate d’une « situation de guerre »
Le caractère d’urgence de la situation, rendu encore plus gravissime par les carences des dirigeants actuellement en poste, appelle des mesures immédiates et fortes. Si comme nous le dit l’actuel président de la République, manifestement dépassé par les évènements, « nous sommes en guerre », alors traitons le problème comme une situation de guerre et appelons-en, comme je l’avais fait en juillet 2019, pressentant la catastrophe, aux commandements et aux états-majors des trois armées françaises – l’Armée de terre, la Marine nationale et l’Armée de l’air – ainsi que la Gendarmerie nationale.
Sous leurs égides, pourrait être mis en place un gouvernement de salut public provisoire, composé de spécialistes, notamment pour les questions sanitaires, à même de prendre les mesures d’urgence qui s’imposent pour la sécurité des Français, du moins le temps que dure cette douloureuse période de crise. Ensuite et seulement ensuite pourrait être remis en marche le fonctionnement de nos institutions politiques, avec une constitution renouvelée ou non.
J’ai conscience de la gravité d’un tel appel. Mais compte-tenu de l’urgence du moment et face à la faillite totale de ceux qui ont charge de la gérer, il n’existe à cette heure aucune autre alternative politique pour tenter de sauver le pays du naufrage où le conduit une équipe d’incompétents et de dangereusement inutiles.