Crépuscule, par Juan Branco – 4. Vingt-neuf unes dithyrambiques
Crépuscule, par Juan Branco – épisode 4
Crépuscule, par Juan Branco – épisode 4
Crépuscule, par Juan Branco – épisode 3
Crépuscule, par Juan Branco – épisode 2
Macron et son crépuscule, par Juan Branco – épisode 1 : Celui que nous nous apprêtons à abattre symboliquement.
Le dénouement de la crise passera par la rue. Mais rien n’empêche d’établir dès à présent une équipe de combat pour bâtir le nouveau monde.
Facebook et Twitter font des misères au yetiblog… qui ne s’en laisse pas compter et réactive ses réseaux sur Telegram et VK.
« Voila pourquoi je convie tous les Français, où qu’ils se trouvent, à s’unir à moi dans l’action, dans le sacrifice et dans l’espérance. »
N’ayez pas peur de leurs menaces contre les réseaux sociaux. Ils ne contrôlent plus rien. Ils sont morts. Cognez du plus fort que vous pouvez.
Les saloperies des BFMTV/LCI sont une aubaine, entendez une incitation à laisser tomber nos derniers scrupules pour leur rentrer dedans.
Coup de théatre judiciaire : le juge d’instruction rejette les réquisitions du Parquet de Paris et remet Piotr Pavlenski en liberté.
Réjouissons-nous : dans une confrontation de cette nature, c’est toujours le camp qui perd les pédales qui perd la guerre.
À la guerre des classes, chacun ses LBD. Avec le Griveauxgate la macronie vient de se prendre une décharge de LBD Pavlenski dans la gueule.
Le journaliste Cris Hedges nommait les responsables du mal radical aux États-Unis. Il en existe aussi en France, de même que des résistants.
Lors d’une révolution, il arrive que le peuple finisse par bruler, non seulement les livres des rois, mais aussi les rois déchus.
Les 200 familles d’avant guerre furent neutralisées par le Front populaire et le CNR. Les voici de retour à 500, toujours plus dangereuses.
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