La fête à Macron le 5 mai (1) : contre la barbarie
François Ruffin nous demande de dire nos raisons pour participer et inviter à #LaFêteÀMacron le samedi 5 mai. Voici les miennes.
François Ruffin nous demande de dire nos raisons pour participer et inviter à #LaFêteÀMacron le samedi 5 mai. Voici les miennes.
Ce qui vient d’arriver à Lula au Brésil confirme que l’oligarchie de l’empire occidental n’a nulle intention de respecter les résultats démocratiques contraires à ses intérêts.
La panique des rats acculés est à son comble. Ainsi cette série de tweets postés par des “journalistes” [rires] cherchant fébrilement des usagers SNCF mécontents.
Quel meilleur hommage que celui rendu de son vivant à Jacques Higelin par Sandrine Bonnaire ? “Ce que le temps a donné à l’homme”, diffusé par Arte en 2014.
Connais-tu un truc aussi discret qu’efficace pour faire augmenter les salaires ? Nostalgie du sabotage.
Que n’inventeront-ils pas… Nous avions vu à plusieurs reprises que l’abominable Vlad des neiges était accusé d’à peu près toutes les calamités terrestres : On savait, grâce à notre presse ô combien libre (défense de rire), que l’horrible Vladimirovitch avait instrumentalisé au choix : les réfugiés, le gaz, la Syrie, les élections américaines ou allemandes,… Continuer la lecture Le Grand jeu : et maintenant Poutine hacke les pipelines américains (ou presque…)
Pour les européistes, la démocratie, c’est comme les kleenex : elle les sert et ils s’en réclament ; ou ils la jettent. Dernier exemple : les Pays-Bas viennent de supprimer le référendum.
C’est François Ruffin, encore lui (les Nuits debout, c’était déjà lui), qui a lancé l’idée : le samedi 5 mai, ce sera jour de “Grand débordement”, on monte tous à Paris faire sa fête au Macron.
Malgré les petits calculs morveux de la direction SNCF (qui voit – forcément – de moins en moins de grévistes), tout s’emballe côté soutien.
Si le président Macron avait pu paraître marquer le premier point en octobre dernier, la France insoumise vient manifestement de s’adjuger le second dès le début du mouvement de grève des cheminots.
À en croire leurs cris de victoire, la croissance mondiale était revenue. Oh, chiffrée seulement en petits dixièmes de points supplémentaires, mais ils étaient contents. Patatras, les dernières nouvelles montrent que la reprise patine nettement.
Soutenir une grève dure, c’est aussi tenter de la rendre moins dure, au moins financièrement, pour ceux qui sont au front. Allez hop, à votre porte-monnaie !
Mai 68. C’est un temps où les souris dansent car elles ne sont pas fichées S et du reste on ne songe même pas à fliquer de braves pépères agriculteurs.
Une tribune de Jean-Luc Mélenchon sur la Marche blanche organisée à la mémoire de Mireille Knoll, grossièrement spoliée par le CRIF (Conseil représentatif des institurions juives de France) et son bras armé, la LDJ (Ligue de défense juive).
Le mouvement social fatidique tant attendu commence donc dès le 3 avril par une grève SNCF qu’on annonce dure. Mais qui n’aura de raison d’être que s’il se prolonge et s’étend au domaine politique.
Dans la grande lutte entre le système impérial et la Russie, chacun répond désormais du tac au tac, sans faiblir, sans reculer. Le dernier épisode, très peu commenté pour l’instant, a lieu dans la Baltique, l’un des points chauds maritimes du Grand jeu où s’affrontent la volonté du Heartland eurasien de s’ouvrir les portes de… Continuer la lecture Le Grand jeu : grand jeu en Baltique
Tout est dans la formulation. Après la journée tragique du 30 mars à Gaza, les médias mainstream français unanimes titrent : « Gaza : au moins seize Palestiniens tués dans de violents affrontements. » Or, si des morts il y eut, d’affrontements point. Et pour cause un très haut mur de sécurité séparait les manifestants… Continuer la lecture Gaza : de faux « affrontements », mais de vrais morts
Bruno Guigue allume la nouvelle usine à gaz de la propagande occidentale : cette lamentable affaire Skripal, dont tout laisse à penser qu’elle est le fruit empoisonné d’une délirante imagination britannique.
Exclusif : ils avaient de longues barbes hirsutes, des survêtements bon marché, des sandales en plastique poussiéreuses. Je suppose que c’était une sorte de déclaration politique…
“Jacquou le croquant”, une série (on disait alors “feuilleton”) diffusée par la télévision, conforte un puissant vent de résistance dans les campagnes.