
Autre signe important de la dislocation d’un système : la mise à jour des moeurs sexuelles et des réseaux de prostitution sordides de ses élites.
Dans un État fort, les Duhamel, PPDA, Tron, Darmanin ou autres vedettes incestueuses continueraient de commettre leurs frasques à l’abri de leurs alcôves, dans le silence apeuré de leurs subalternes.
Mais lorsque les “dictateurs” sont étalés cul nu et couilles à l’air en une de leurs propres journaux TV, alors ils apparaissent pour ce qu’ils sont : des connards déculottés.
Une victoire du féminisme radical
Aujourd’hui les tyranneaux de la braguette tombent comme à Gravelotte sous le regard médusé de l’opinion publique. Et on aurait tort d’oublier que leur chute vient de la mobilisation active d’une partie de notre société, tout particulièrement des féministes tendance radicale à l’origine de mouvements comme MeToo.
Ceux qui parlent de montée de la dictature à propos du régime macronien ont un train et une guerre de retard. La dictature, c’était avant, quand les connards pouvaient sévir en toute impunité, et que nous croyions tous être en démocratie.
Aujourd’hui, grâce à la mobilisation radicale de quelques-uns, ou plutôt de quelques-unes, le monde pourri des connards se désintègre un peu plus. Il est grand temps de l’achever.