Manifestations : ils sont au bout du rouleau, la victoire est à portée !

KO
Une centaine de manifestants anti-pass pique-niquant place Kléber à Strasbourg (photo DNA /Cédric JOUBERT)

Ces manifestations du samedi ne vont pas pouvoir se continuer éternellement sur un rythme planplan, avec pour seul objectif de se compter. Ou alors dans dix ans on y sera encore. En bref, ou les manifestants passent à la vitesse supérieure et mettent l’adversaire KO, ou ils sont condamnés à mariner (oh le mauvais jeu de mots !).

Ceux qui vont devoir payer et qui déjà tremblent dans leurs culottes

La situation est pourtant propice à une accélération : en face, tout laisse à montrer qu’ils sont au bout du rouleau, nerveux, fébriles, mentant comme des arracheurs de dents pour sauver la face, mais finalement plus très à l’aise dans leurs baskets et tremblant dans leurs culottes :

  • ces politiques qui ont décidé et voté des mesures de coercition à prétexte sanitaire et qui déjà s’inquiètent des représailles populaires ;
  • ces médias de propagande livrant un dernier baroud d’horreur dans l’ignoble : cf. le dernier fastchecking de l’AFP-factuel s’en prenant au Pr Raoult avec les arguments de comptoir vaseux des scribouillards de cabinet qu’ils sont devenus ;
  • ces médecins traitants refusant à leurs patients des soins de base élémentaires ayant fait leurs preuves (hydroxychloriquine, ivermectine…), mais leur administrant sans honte des produits douteux dont ils n’ont même pas vérifié l’efficacité, ou pire encore la dangerosité (Pfizer, Moderna, Astrazeneca…) ;

Ceux-là, tous ceux-là vont devoir payer et ils commencent à sentir le vent du boulet.

L’heure des comptes a sonné

C’est bien connu des boxeurs, quand ton adversaire titube, tu ne le laisses pas souffler, tu cognes et tu l’envoies au tapis pour le compte. Ne vous contentez plus de crier votre indignation à coups de pancartes et de slogans, cognez sur les indignants, poussez-les dans les cordes. KO technique en vue.

  • Désignez, montrez du doigt les salopards, prenez date.
  • Occupez les terrasses de café, de restaurants qui vous sont dues (pour peu que vous consommiez, les patrons vous en seront secrètement gré) ;
  • Montez dans les trains, les autobus, les tramways, tous ces services publiques qui vous appartiennent ;
  • Bloquez, envahissez les centres commerciaux indélicats.

Faites-leur peur et vous verrez, ils finiront par fuir comme les Américains à Kaboul. L’heure des comptes a sonné.

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Un voyageur à domicile en quête d'une nouvelle civilisation.