
Le boulot (de destruction) ayant été remarquablement bouclé par les déments, je me suis dit qu’il était désormais temps d’arrêter ma chronique sur l’effondrement du vieux monde (acté) pour tenter de distinguer les prochaines lueurs du prochain.
Toutes les photos de ce billet on été prises ce matin chez moi entre 8 et 9 heures, à l’heure où le soleil d’hiver se levait. Cadeau.


Maintenant, regardez cette vidéo et surtout écoutez bien. Le bourdonnement que vous entendez dans le lointain, c’est le cri des oies bernaches descendues comme chaque hiver des steppes bordant le Pôle nord pour profiter des cieux plus cléments du golfe du Morbihan.