Les petits poissons (d’avril) se noient dans un verre d’eau (croupie)

C’est comme pour la chiasse. Vous avez beau serrer les fesses, tout d’un coup les sphincters lâchent prise et le flot nauséabond se déverse sans retenue, irrépressible, torrentiel, humiliant.

Ils auront pourtant tout fait pour retenir le débordement malodorant. Le clown à crinière paillasses a beau hurler au poisson d’avril, au coup monté, au guet-apens, trop tard. Le gugusse répugnant se déballonne et ses potes les petits poissons (d’avril) incontinents se noient dans un verre d’eau à la couleur douteuse.

Les merdeux chroniques, pris sur le fait, s’en reprennent encore une couche :

Chasse d’eau, please !

L’imbécile de service confirme ingénument la réalité du scandale « de source sûre » – elle ne précise pas laquelle (cachez cette diarrhée que l’on ne saurait voir) :

Les voyeurs des réseaux sociaux publient sans pitié les images des chiottes :

Bref, vous avez la séquence fatale d’un tsunami diarrhétique en train de submerger des chieurs dont tout le monde déjà rigole ou se désole en se bouchant le nez. Chasse d’eau, please !

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Un voyageur à domicile en quête d'une nouvelle civilisation.