
Dans toutes les civilisations qui meurent, il y a ce réflexe provoc des dominants de conjurer leur mort en donnant et en affichant sans retenue leurs fêtes décadentes et obscènes.

??⚽️ FLASH | Après son match de foot, #Macron a fait la fête à l’Élysée hier soir !
— Conflits France (@ConflitsFrance) October 15, 2021
(BFM) #EmmanuelMacron pic.twitter.com/UH8laoAuR1
Émeutes, barrages incendiés, et même échanges de coups de feu en Guadeloupe et Martinique, mais… https://t.co/rVwiGOozgt
— Pierrick Tillet (@yetiblog) November 28, 2021
?? Autriche : Alors que les citoyens ne sont pas autorisés à boire un verre de vin au marché de Noël en raison du confinement, les membres du gouvernement, le ministre de la Santé et le président fédéral ont célébré une soirée de gala.
— @ElDictaTorOfficiel (@El_Dic_TatoR) November 26, 2021
Superbe fête sans les gueux ! pic.twitter.com/EubTiQgkhg
Des désordres patholoqigues sous emprise de Thanatos
La descente aux enfers des dominants s’illustre encore par la totale perte de contrôle de leurs pulsions de domination sexuelle : dépravations pédopornographiques, culte irrépressible du viol et de l’agression sexuelle (Dominique Strauss-Kahn, Nicolas Hulot, Gérard Darmanin, Olivier Duhamel, Jeffrey Epstein, Harvey Weintein…).
Ces bacchanales dépravées n’ont évidemment plus rien à voir avec une quelconque démonstration de puissance. Plus pathétiques qu’arrogantes, elles relèvent d’un réflexe morbide, d’un désordre pathologique sous emprise de Thanatos [personnification de la Mort dans la mythologie grecque, ndlr]. De fait, les exemples de décomposition de ce genre abondent dans l’histoire des civilisations, des empires ou des régimes déchus, annonciatrices de leur fin.
