
Deuxième mois du Média. Au-delà du bashing forcené attendu mené par les vautours de la sphère médiatique maintream, le départ de quelques têtes d’affiche emblématiques contribue paradoxalement à décanter les choses.
Que les bobos qui avaient cru bon de s’encanailler avec le nouveau support médiatique aient tourné casaque au premier obstacle ne saurait nous attrister. Que les quelques couilles molles égarées qui étaient venues ici en pensant relancer ou sauver une carrière médiatique incertaine (Rossigneux, Mamère, Kirpach, De Boni, Brustier…) aient décampé au premier pet ne peut que nous réjouir.
Adieu les Filippetti, les Morel, les Balasko et tous ces signataires scrupuleusement médiatisés de toutes les pétitions bon chic, bon genre. Adieu et bons vents, les Aude Rossigneux – franchement, quelle erreur de casting, celle-là ! – les tergiversants Noël Mamère, Catherine Kirpach, Marc de Boni ou autres Gaël Brustier.
De plus en plus solide et rigoureux
Ce qui ressort à l’issue de ces « nettoyages » mouvementés, c’est un JT beaucoup plus solide, rigoureux, enrichi par l’alternance de ses présentateurs. Je doute d’ailleurs fort que ses plus véhéments contempteurs ne le regardent vraiment.
Je relaie chaque soir ce journal sur la page Facebook du Yéti, n’hésite pas à le commenter de mes critiques, ce qui n’enlève rien à ses qualités. Et je ne m’attarderai même pas ici sur la qualité indéniable de ses divers magazines. Ni sur l’initiative heureuse de son Médiapresse.
Vous l’aurez deviné sans problème, à son deuxième mois d’existence, même et peut-être surtout parce qu’il a été un brin balloté ces derniers temps par quelques vents mauvais, le Média s’impose comme l’alternative médiatique que j’espérais. Et ne saurais trop vous conseiller de suivre intensément.