La crise sanitaire est terminée, la crise politique de type criminel s’aggrave

Il n’y a plus de crise sanitaire du Covid en France. Rien d’autre qu’une crise politique de type criminel. J’entends crise au sens premier du mot : un trouble exceptionnel dans ce qui est ou devrait être un fonctionnement normal.

La courbe de surmortalité française est rentrée dans les clous de la normalité

Il n’y a plus de crise sanitaire à proprement parler dans notre pays, juste des problèmes sanitaires communs à la saison. La courbe de surmortalité française indiquée par le site EUROMOMO est rentrée dans les clous depuis deux mois, à la mi-décembre très exactement, lorsque cette courbe est revenue peu ou prou dans le tunnel du supportable, entre la ligne pointillé noire du souhaitable et celle, en rouge, marquant la limite de l’acceptable.

Surmortalité en France entre la semaine 41 de 2020 et la semaine 5 de 2021 (source : EUROMOMO)

La crise sanitaire a été aggravée par des comportements politiques de type criminel

Reste la crise politique. Nous l’avons dit, elle est de type criminel. La crise politique criminelle n’a pas succédé à la crise sanitaire, elle l’a accompagnée depuis le début et l’a même sciemment aggravée pour des raisons relevant du grand banditisme et des conflits d’intérêts.

Il n’y a pas eu d’erreurs commises par ceux qui font aujourd’hui imposture d’autorités, pas de négligences sur les masques, aucune raison médicale valable justifiant l’interdiction de certains médicaments de base connus depuis longtemps et qui, s’ils ne soignaient pas à proprement parler le Covid, permettaient d’en atténuer la charge virale.

Il y a eu crime par volonté politique délibérée de protéger des interêts particuliers, ceux de l’industrie pharmaceutique, au mépris même de la santé, de la vie des citoyens, carrément sacrifiés sur l’autel de Big Pharma. Encore une fois, cette action fut clairement et sciemment organisée sur le modèle de la forfaiture mafieuse.

Les criminels qui nous gouvernent relèvent tous de sanctions pénales sévères, à défaut du peloton d’exécution pour haute trahison

Mais il y a pire. Alors que la crise sanitaire s’estompe, la crise politique criminelle est prolongée artificiellement et empire. Le Covid fut prétexte au déploiement d’une série de mesures sociales brutales par une classe politique dévoyée qui ne vit là qu’une occasion de sauver une position de plus en plus compromise par l’effondrement de son système d’oppression.

Confinements absurdes, port obligatoire du masque en public aberrant, couvre-feu généralisés aussi vains médicalement qu’inadmissibles politiquement, lieux culturels et de loisirs fermés tandis que les gares, les centres commerciaux; les établissements scolaires restaient ouverts à toutes les promiscuités… Il faut être bien naïf pour ne pas voir dans ces dévoiements autre chose que le désespoir forcené d’une politique du cadenas imposée par des criminels.

Voilà pourquoi aujourd’hui, tous ceux qui ont charge les manettes de notre pauvre pays dévasté, relèvent tous, sans aucune exception, de sanctions pénales sévères, à défaut du peloton d’exécution pour haute trahison.

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