Guerre USA/Iran : désarroi et panique s’emparent de l’empire

En assassinant le général iranien Qassem Soleimani en Irak, les États-Unis ont déclaré à l’Iran une guerre qui allait rapidement les dépasser.

Il y eut d’abord les menaces du matamore empêtré, ne sachant comment rattraper sa bévue :

Mais la pression monta en puissance :

La panique des enlisés

Petit à petit, le désarroi s’installa. L’armée américaine annonça dans un courrier à l’Irak se repositionner en vue de son retrait… que venait de voter le Parlement de Bagdad !

Lettre envoyée par erreur, tenta de rattraper ensuite l’État-major US, ce qui, loin de corriger l’impression de confusion, en rajouta une louche. Le mal était fait. Les faux-culs avaient déjà lâché leur maître en prenant leurs distances :

« C’est une décision prise par les États-Unis, cela n’est pas une décision prise ni par la coalition contre Daech, ni par l’Otan » (Jens Stoltenberg, secrétaire général de l’Alliance atlantique).

D’autres enfin, parmi les pays satellites de l’empire, se firent implorants :

Tout ça sentait la débandade, la panique des enlisés…

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Un voyageur à domicile en quête d'une nouvelle civilisation.