
Pour tout dire, la variole du singe (en anglais “monkeypox”) n’est pas une maladie franchement nouvelle. Découvert en 1958, ce virus sévissait essentiellement dans les forêts du centre de l’Afrique tropicale et frappait… les singes ! Le premier cas humain a été découvert en 1970, toujours en Afrique, et des mesures sanitaires ont aussitôt été prises, car on craignait qu’il ne cause des manifestations cliniques analogues à celles de la variole, mais « moins graves » (Wikipedia).
D’ailleurs, cette maladie se soigne apparemment très bien avec un médicament basique très bon marché, la doxycycline (gagez qu’ils vont finir par l’interdire).
Vous avez dit bizarre ?
Mais chassez le coronavirus, et la variole du singe revient au galop… sauf qu’elle s’attaque maintenant exclusivement aux pays du bloc occidental (vous avez dit “bizarre” ?).

Nonobstant le nombre ridicule de cas confirmés, c’est le branle-bas de combat chez les variolisés :
- Des plans sur la comète coercitive pour une maladie qualifiée par eux-mêmes de « maladie bénigne ».
- « Un vaccin combiné covid19/variole du singe déposé le 26 février… 2020… » nous indique-t-on pour bien marquer la préméditation d’un coup fourré à l’insu de notre plein gré.
- La nouvelle ministre française de la Santé, Brigitte Bourguignon, préconisant sans attendre une vaccination « ciblée » des soignants et des cas contacts, et précisant, ô miracle, que les stocks [de vaccins] sont déjà là.
- Klaus Schwab, grand prêtre du Great Reset occidental (également fils de nazi zélé, soit dit en passant) et Albert Bourla, pdg du labo Pfizer multirécidiviste en charlatanisme, claironnant à Davos qu’il faut stopper les mouvements anti-vaccins et les conspirationnistes.
- « Savoir où les consommateurs se déplacent, ce qu’ils mangent, avec des traceurs « , résume crûment John Evans, le PDG américain d’Alibaba, annonçant sans se gêner le programme de flicage généralisée sous prétexte sanitaire.
Une tentative manifeste d’asservissement des populations
La ficelle de la manipulation à grande échelle par des élites tentant de garder le contrôle d’un système qui leur échappe, est évidemment très grosse. Nous sommes désormais en présence manifeste d’une tentative d’asservissement des populations par une clique de gangsters sans foi, ni loi.
Dans un monde normal, ces dingues ne tiendraient pas longtemps et seraient rapidement – et par tous les moyens – mis hors d’état de nuire. Seulement voilà, nous ne sommes pas dans un monde normal, mais dans un monde malade. Et ces monstres détraqués ont un avantage : la résignation de leurs populations malades. Ce qui fait que leur entreprise hautement criminelle, vouée à l’échec, a malgré tout toutes les chances de durer et de conduire à une tragédie.
