
La guerre de l’information fait rage entre les propagateurs de peur sanitaire et le carré des résistants à l’empoisonnement vaccinal. Mais le moins qu’on puisse dire est que l’avantage est sérieusement en train de pencher du côté des seconds.
La balance bénéfice/risque catastrophique des vaccins ARN
La balance bénéfice/risque des vaccins ARN est en effet catastrophique et cela commence à se savoir :
- 3,3 millions d’effets secondaires déclarés sur la base de l’OMS (Organisation mondiale de la Santé)
- 25 000 morts aux États-Unis, 36 000 dans l’Union européenne imputables aux vaccins
- Très haute toxicité de protéine spike injectée par les vaccins
- Des effets secondaires de plus en plus nombreux, de plus en plus flagrants : thromboses, myocardites, AVC, rechutes de cancers, maladies neurodégénératives (maladie de Creutzfeldt-Jakob), réveil de maladies auto-immunes…
- Des conséquences dramatiques pour les plus jeunes et les enfants, pourtant peu sensibles aux différents coronavirus, mais que les fous veulent absolument vacciner.
Les faux-fuyants de plus en plus piteux des imposteurs
Face à cette offensive de la réalité confortée par des expériences et des statistiques de plus en plus implacable, les propagateurs de peur sanitaire n’ont que des contre-études si foireuses, si grossièrement trafiquées qu’elles sont aussitôt démontées. Et la clique des imposteurs genre Jean-François Delfraissy, président du Conseil scientifique, n’a plus que des faux-fuyants de plus en plus piteux et les procès en complotisme pour sauver la face de leur propagande.
Malaise de Jean François Delfraissy président du Conseil scientifique mis KO par un étudiant de sciences Po Lille (15/03/22) sur l’efficacité du vaccin et sur les effets secondaires 1/2⬇️ cet étudiant est plus pertinent que les journalistes? #Macron #Lallement pic.twitter.com/jE0xfdhzGE
— LE GÉNÉRAL Officiel© (@Le_General_off_) June 9, 2022
Mettre les imposteurs KO
Ce n’est pas quand ton adversaire… que dis-je, ton ennemi, chancelle qu’il faut faire du sentiment. Tu cognes et tu l’envoies au tapis pour le compte, me disait jadis mon entraîneur de boxe. Nous en sommes-là, cogner du plus fort que nous pouvons pour mettre KO ceux qui nous pourrissent la vie depuis maintenant plus de deux ans. Certains s’y emploient avec vaillance.