
De Raoult à Toussaint en passant par des Perronne ou des Henrion-Claude, ça ne fait désormais plus de doute pour aucun spécialiste DE TERRAIN : le masque est un bâillon politique imposé par un pouvoir aux abois à une population désemparée, une tentative des dominants de sauver une position désormais intenable, le terrible constat d’une population déshonorée qui accepte de s’auto-humilier.
Le stratagème est aussi grotesque (et désespéré) que les tocards qui y ont recours, et ne trompe plus… que les intoxiqués de la trouille. Car il y a aujourd’hui deux sortes de gens :
- ceux qui portent le masque par trouille d’un virus has been ;
- ceux qui le portent par trouille du PV à 135 euros.
Hohé, quelqu’un dans ce marasme collectif pour ruer dans les brancards ?
Tout à ça est ridicule et absurde, en même temps que totalement inutile :
- n’en déplaise aux fanatiques du test, il n’y a aujourd’hui aucun rebond du Covid (et si un nouveau Covid saisonnier revenait à la charge à l’automne, aucun masque ne l’arrêterait) ;
- il n’y aura pas de rebond de l’économie après le déconfinement du 11 mai et ce n’est pas le port psychopathique du masque qui arrangera les choses ;
- le peuple français va juste boire le calice de l’humiliation jusqu’à la lie ; le réveil sera difficile et infiniment douloureux.
Hohé, quelqu’un dans ce marasme collectif pour ruer dans les brancards ?