
Deux fake news propagés par les médias mainstream viennent de tomber, démontrant l’efficacité subversive des réseaux sociaux.
Le vrai « vaccin » de Mauricette
Facile d’essayer de tricher quand on est pris les doigts dans le pot de confiture. Suffisait à BFMTV de copier sur sa vidéo de la première vaccinée de France le « ça » entendu à la seconde 3 et de le recoller à la seconde 9, légèrement trafiqué pour qu’on entende un salmigondis incertain : « Ah, faut faire un vaksa ? »
Mais difficile d’abuser longtemps le chaland avec ces montages grossiers opérés en catastrophe. Sur les réseaux sociaux, rien ne se perd et tout se récupère. Voici la vidéo originale de ce fiasco médiatique foiré par BFMTV. Là, à la seconde 9, on entend distinctement Mauricette s’étonner : « Ah, faut faire un vaccin ? »
Un montage audio..
— Enjolras_Hugo (@Enjolras_Hugo) December 28, 2020
➡️ A la 3ème seconde #Mauricette dit « ça »
➡️A la 9eme seconde elle dit bien « vaccin »
➡️Les pro-vaccins #Pfizer ont mis le « ça » de la 3eme seconde en remplacement de « vaccin » qui se trouvait à la 9eme seconde.
L’original de la vidéo est ici ⬇️ pic.twitter.com/a06PLDyyiL
L’agression d’un fils de policier musulman qui n’avait rien à voir avec la fête de Noël
Autre affaire, même moeurs médiatiques dévoyés : celle de l’instrumentalisation de l’agression d’un jeune musulman par des coreligionnaires au prétexte qu’il aurait fêté le Noël chrétien. Faux, répond le procureur de la République de Belfort dans un communiqué du 28 décembre :
« Il n’est nullement établi qu’aurait été expressément reproché à une personne de confession musulmane de célébrer la fête chrétienne de Noël. Le déchaînement verbal puis le rendez-vous fixé semblent davantage relever d’une question d’ego, le plaignant estimant que son contact, moins âgé que lui, lui avait manqué de respect, et non pas d’une volonté d’imposer à autrui des convictions religieuses. »
Plus humiliant encore pour Darmanin et ses consorts policiers, le magistrat révèle que l’affaire a été instrumentalisée par des « sources policières identifiées » comme ne résidant même pas sur le Territoire de Belfort et par conséquent étrangères à l’enquête (2nd paragraphe du texte ci-dessous) :

Un régime autoritaire caricatural qui ne maitrise plus ni sa propagande ni son autorité
Là encore, rien de tout cela n’aurait été connu sans le relais des réseaux sociaux. De ces deux démontages de fake news médiatico-politiques avérées, deux leçons peuvent être tirées :
- les médias mainstream ne maîtrisent plus du tout leur propagande ;
- le régime macronien n’a d’autoritaire que des intentions immédiatement ridiculisées par son agitation caricaturale. Le propre des tocards.