
Revenir aux fondamentaux : la gravité d’une épidémie se mesure au nombre de victimes (et non au nombre de cas positifs, cet argument publicitaire fallacieux déployé par les grands labos pour forcer à la vaccination). Pour comparer la gravité d’une épidémie selon les pays, on rapporte le nombre de victimes à un nombre fixé d’habitants : nombre de morts pour un million de personnes par exemple.
À ce titre, le graphique ci-dessus est très éclairant. Il mesure le nombre de morts du covid par million de personnes sur les cinq grands blocs de la planète en cette fin d’année 2021. Le résultat est sans appel : ce sont les pays riches qui ont le plus soufferts du Covid. Et qui continuent de souffrir malgré une, ou plutôt des campagnes de vaccination ARNm de plus en plus hystériques.
À l’inverse, les autres continents – qu’on disait jadis “en voie de développement” avec un rien de suffisance – s’en sortent beaucoup mieux. Avec une autre particularité qui devrait nous interpeler : certains de ces continents (l’Asie) pratiquent aussi la vaccination, mais avec de vrais vaccins, pas des thérapies géniques ; d’autres (l’Afrique) ne sont quasiment pas vaccinés du tout, mais sont adeptes depuis longtemps du Plaquénil (c’est-à-dire de l’hydroxychloroquine) qu’ils utilisent contre le paludisme.
Des thérapies géniques qui ne protègent de quasiment rien, mais tuent
Une autre comparaison significative mérite d’être étudiée pour mesurer l’efficacité des thérapies géniques qu’on nous impose à nos populations : le nombre de morts du covid selon qu’on est vacciné ou non. Difficile d’établir cette comparaison en France où les données sont désormais trafiquées à un niveau insensé. Mais en Grande-Bretagne, l’Agence britannique de sécurité sanitaire (UK Health Security Agency) continue d’examiner et de publier ces données avec un soin méticuleux. Voici leurs derniers résultats pour l’Angleterre et l’Écosse (NB : en rouge le pourcentage de personnes vaccinées).

(Source : UK Health Security Agency)

(Source : UK Health Security Agency)
La conclusion est évidente, n’est-ce pas ? Les thérapies géniques, faussement appelées vaccins, non seulement ne protègent de quasiment rien, mais tuent. Car il faudrait aussi comptabiliser le nombre de victimes des effets indésirables désastreux causés par ces produits ARNm hautement toxiques.
Selon le VAERS (la pharmacovigilance US) les inoculats contre la covid-19 ont accumulé en 1 an plus d’effets secondaires graves que TOUS LES AUTRES VACCINS RÉUNIS EN 34 ANS.
— Idriss J. Aberkane Ph.D, Ph.D & Ph.D (@idrissaberkane) December 9, 2021
Voilà voilà… pic.twitter.com/XGsnnwz5LO
Une dernière chose : que l’on nous épargne les élucubrations mathématiques tordues sur le nombre de personnes vaccinées désormais plus nombreuses que les non-vaccinées. Le fait est que la vaccination est destinée à empêcher d’attraper la maladie et encore plus d’en mourir. D’ailleurs rappelez-vous ce que nous disaient les “publicitaires” morbides il y a quelque temps : les 95 % d’efficacité des vaccins pour arrêter la maladie, pour empêcher les formes graves, pour assurer l’immunité des personnes…
