
Je ne fréquente plus les médias mainstream depuis belle lurette. Y voir parader les cons m’emmerde. Or voilà que ceux-là rentrent par la fenêtre des réseaux sociaux… via les anti-cons autoproclamés.
Pas une connerie de Zemmour, pas une saillie d’Aurore Bergé, pas une frasque de Griveaux, de de Rugy ou de Valls qui ne soient répercutées jusqu’à l’indigestion, au mauvais prétexte de les dénoncer, sur Facebook ou sur Twitter.
Moyennant quoi, vous êtes sûrs de ne rien manquer des conneries de ceux que vous fuyez comme la peste. À croire que ceux-là en rajoutent dans la provoc pour se voir faire de la pub par leurs pires ennemis… intimes.
Car on ne m’enlèvera pas de l’idée qu’il y a toujours comme une collusion inavouée entre les cons et les anti-cons, comme si les anti-cons ne pouvaient exister que par l’existence des cons. Il y a dans l’acharnement des anti-cons à dénoncer les cons comme une trouble soumission à leurs cibles favorites.
C’est d’un chiant !
Si ça continue, je vais finir par virer toute cette engeance consanguine. Ça me fera de l’air.