Lorsque le processus d’effondrement d’un monde touche à son point culminant, c’est-à-dire à la désintégration finale d’une société, alors les évènements catastrophiques se précipitent que le chroniqueur a du mal à distinguer. Les trois derniers en date sont survenus en quelques jours, sinon quelques heures :
- l’hécatombe chez des soignants vaccinés,
- la frénésie de dissolutions chez les autorités désemparées,
- l’entrée en scène de l’armée contre sa propre population.
1. Confusion d’une campagne de vaccination désastreuse
Plusieurs de mes amis âgés se sont fait vacciner. Leur réaction de soulagement n’a pas été de se sentir enfin à l’abri du coronavirus, mais d’avoir échappé à des effets secondaires fâcheux. Mais comme le souligne le Pr Raoult, le bénéfice risque favorable d’un vaccin, dont mes amis bénéficièrent, n’est pas gage de son efficacité.
D’autres n’eurent d’ailleurs pas leur chance. Ainsi ces soignants victimes de réactions si fortes après l’injection du produit AstraZeneca que beaucoup d’entre eux durent être placés en arrêt maladie. Au point que leurs hôpitaux, à Brest, Morlaix, Saint-Lô, annoncèrent la suspension d’une campagne de vaccination qui tournait à l’hécatombe.
Si cette hécatombe concerne exclusivement le vaccin AstraZeneca, on ne peut pas dire non plus que les autres produits concurrents – car c’est bien de “produits” qu’il s’agit – aient fait les preuves de leur efficacité, harcelés par des mutants mutins qui ne cessent de leur échapper, à la grande confusion de Big Pharma qui ne sait plus où donner de la dose (sinon à celle de ses bénéfices), au grand désarroi d’autorités politico-sanitaires qui ne savent plus à quel confinement se vouer.
Chroniques ordinaires d’un effondrement :
- Confusions vaccinales
- La frénésie de la dissolution
- L’armée entre en scène…
