Condamné à 4 mois de prison avec sursis pour avoir aidé des réfugiés, Cédric Herrou persiste et signe :
« Ce n’est pas sous la menace que j’arrêterai. Bien au contraire en fait. Ça devient plus nécessaire qu’avant de lutter. Je crois qu’il y a vraiment une dérive l’État français, il y a une dérive de la Justice. Et c’est encore plus important qu’il y a un an de lutter contre ça. »