Ceux qui embrassent et ceux qui n’embrassent toujours pas

J’ai beau essayé de me dire que chacun est libre, qu’il faut être tolérant et compréhensif et tout, au bout d’un moment je sens bien que mon monde est en train de se partager en deux : ceux qui embrassent et ceux qui n’embrassent toujours pas. Pas de rejet de ces derniers, mais un éloignement grandissant.

Et je ne suis pas le seul à être fatigué par la persistance de ce délire parano devenu ridicule :

Si fatigué que je n’ai même plus la force de discuter avec ceux qui tentent de justifier la persistance de leur accoutrement masqué. Juste amusé de me voir traiter tantôt de suppôt d’extrême-droite, tantôt de complotiste d’extrême gauche par ceux-là mêmes qui croient dur comme fer que les mesures de confinement nous ont évité 690.000 morts du Covid (alors que la Suède n’en a eu que 5.743 sans confinement).

Si vous permettez, je vais moi aussi user de la “distanciation sociale”… mais désormais vis-à-vis des porteurs de masques. Car pas sûr que l’hydroxychlorquine soit efficace contre l’épidémie de paranoïa covidienne qui affecte tant de mes amis.