Ces comptes sévères que nous allons devoir rendre à nos enfants

Les principales victimes de cet interminable délire pandémique sont paradoxalement ceux qui ne sont pas concernés par la maladie : les enfants. Mais s’ils sont épargnés par le coronavirus et ses variants successifs, les enfants ne le sont guère par l’institution, avec l’assentiment passif de leurs parents et de leurs éducateurs.

Voici une analyse au scalpel de Marie-Estelle Dupont, psychologue clinicienne, sur la maltraitance institutionnelle qui leur est infligée.

« Restez à votre place de journaliste ! »

Manque dans la vidéo que vous venez de voir la réponse de Marie-Estelle Dupont au chien de garde de service, le journaliste « prêchi-prêcha ». Cette réplique n’allait pas tarder. Elle est cinglante.

Alors voilà, il paraît aujourd’hui que 7 parents sur 10 s’opposent à la vaccination de leur progéniture (après l’avoir laissé inoculer à leurs ados de plus de 12 ans). Mais le mal est fait et il faudra bien, quand cette tragédie sera passée, que nous rendions des comptes sévères à nos jeunes générations.

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