Bob Solo, plein les mirettes : 07/03/2019

Biodiversité.

Un des rares endroits ayant jusqu’ici échappé au massacre en sud Ardèche…


Sauvons la tranquillité du Trou de la Lune

La plage du Trou de la Lune est menacée par un projet d’ouverture de restaurant-bar qui doit ouvrir début avril  !

Le Trou de la Lune se situe dans la vallée de l’Ibie qui est constituée d’espaces remarquables et appréciée pour son aspect sauvage et son patrimoine naturel relativement préservés.

Plusieurs milieux occupent cette vallée (garrigues, terres agricoles, lits mineur et majeur du cours d’eau, éboulis…) et abritent des espèces végétales et animales dont certaines sont protégées au niveau local, national ou européen.

Un diagnostic établi entre avril et août 2012 a déjà reconnu que le stationnement de véhicules directement sur les plages bordant le cours d’eau (ou dans la végétation), le camping sauvage ou les feux sont des pratiques qui nuisent à la biodiversité et à la tranquillité du site. Il est très sensible aux perturbations.

La fréquentation dans la vallée augmente et augmentera encore dans les années à venir avec la grotte Chauvet 2 à proximité.

Conscients de cette richesse, les élus des communes de Villeneuve-de-Berg, Rochecolombe, Saint-Maurice, d’Ibie, Lagorce et Vallon-Pont-d’Arc se sont engagés dans un projet de protection et de valorisation de cette vallée.

Nous, Ardéchois ou touriste​s, sommes tombés amoureux de ce site parce qu’il est l’un des seuls à être préservé dans son écrin naturel mais début avril tout peut changer avec l’installation de ce restaurant !

Nous nous mobilisons pour sauver le site de toute exploitation commerciale: pas de restaurant, pas de snack, pas de bar, pas de saloon, pas de soirée musicale à haut niveau sonore impactant la tranquillité du site… aucune installation venant dénaturer le site.

Si toi aussi tu nous soutiens, signe et partage !

A propos de Bob Solo 501 Articles
Autodidacte en tout, café-théâtre, chanson française (auteur-compositeur-interprète), sculpture, photo, écriture, et même agriculture, en rupture de ban avec "le système", je me cantonne désormais à produire de la pensée et de l'émotion. Je n'attends pas de jours meilleurs (ils seront pires) mais j'en fabrique comme je peux...