
De la République à la voyoucratie : quand l’autorité choisit (mal) son camp
Quand vous ne pouvez plus faire de différence entre des casseurs et des policiers, entre un préfet et un chef de bande organisée.
Quand vous ne pouvez plus faire de différence entre des casseurs et des policiers, entre un préfet et un chef de bande organisée.
Le témoignage majeur de Didier Maïsto, directeur de Sud Radio, présent sur la place d’Italie à Paris lors de l’acte 53 des Gilets jaunes.
Quelques questions sur des gens qui peuvent se promener avec un bouclier de gendarmerie ou un pied-de-biche sans être interpellés.
Celle-là (la photo ci-dessus) fera ma journée.
Avant la grève nationale du 5 décembre, un constat s’impose : les Gilets jaunes ont mis en échec la stratégie de la peur menée par le pouvoir.
Les dernières frasques du président US Trump au Moyen-Orient (Syrie), mais aussi en Extrême-Orient (Corées, Japon, Singapour…).
Les efforts désespérés des autorités, de la police et des médias pour masquer le succès du premier anniversaire des Gilets jaunes.
Le journaliste Cris Hedges nommait les responsables du mal radical aux États-Unis. Il en existe aussi en France, de même que des résistants.
Contre les forces du mal radical, affirmer notre courage, notre volonté de nous engager dans des actes persistants de désobéissance civile.
Sondage : un an après le soulèvement, l’opinion publique française toujours largement favorable aux Gilets jaunes.
Des erreurs politiques, mais un impressionnant bilan social pour Evo Morales. Un coup d’État acté, mais des soulèvements populaires en cours.
Au menu du Grand jeu, un coup d’État US corporate en Bolivie, un mort suspect en Turquie et toujours l’avancée inexorable des Routes de la soie.
Lors d’une révolution, il arrive que le peuple finisse par bruler, non seulement les livres des rois, mais aussi les rois déchus.
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