
L’engrenage : la Grande-Bretagne envoie ses premiers soldats en Ukraine
(Photo : AFP)
Officiel : la Grande-Bretagne vient d’envoyer ses premiers soldats en Ukraine (source : le Premier ministre David Cameron himself).
(Photo : AFP)
Officiel : la Grande-Bretagne vient d’envoyer ses premiers soldats en Ukraine (source : le Premier ministre David Cameron himself).
Manolis Glezos, Stathis Kouvelakis, Costas Lapavitsas
Les propositions formulées par la Grèce à l’Eurogroupe le 24 février engagent le gouvernement Tsipras dans le chemin tortueux de négociations très incertaines avec la Troïka. Pourtant, tout n’est peut-être pas encore perdu…
Yanis Varoufakis et Alexis Tsipras (photo : AFP)
Étonnant le nombre de prétendus soutiens de Syriza à enterrer l’espoir Tsipras aussitôt l’accord conclu à l’arraché entre la Grèce et l’Eurogroupe vendredi 20 février. La Grèce, selon eux, se serait couchée devant la Troïka. Pourtant, à y regarder de plus près…
Moscovici et Juncker dans un remake comique des « Désaxés »
(photo : AFP/John Thys)
Devinez ce que la Commission européenne, la BCE et le FMI (bon d’accord, on ne les appelle plus « Troïka ») ont trouvé d’original à proposer lors du dernier Eurogroupe du lundi 16 février ? Une extension de leur vieux « programme d’aide » (déjà refusé catégoriquement à deux ou trois reprises par les nouvelles autorités grecques, mais pas grave).
Et si « l’esprit du 11 janvier », brandi au nom d’une liberté d’expression à sens unique, avait surtout libérée une islamophobie franchouillarde malsaine ? Des intellectuels musulmans s’en insurgent et renvoient de nous un reflet bien loin de l’image idyllique que nous avons de nous-mêmes.
Jeroen Dijsselbloem, président de l’Eurogroupe, 11 février 2013, Bruxelles
(photo : AFP/John Thys)
Ça ne s’est pas du tout passé comme ils l’espéraient. On les sentait nerveux, inquiets, avant cette « réunion de la dernière chance » prévue le mercredi 11 février. À la sortie, ce fut pire.
Déclaration de Yanis Varoufakis sur les autorités politiques européennes
La première leçon à tirer des deux premières semaines de gouvernement Syriza était prévisible : il n’y aura pas d’accord entre le système, représenté par la Troïka, et la Grèce. Seul un clash systémique peut rendre possible un changement politique et social véritable.
Draghi vs Varoufakis (photos : AFP)
On sentait que ça venait, que ça allait forcément être du quitte ou double. Une négociation sur la dette imposée par les nouveaux gouvernants insolents de Syriza. Ou la rupture bête et brutale décrétée par les dirigeants humiliés de l’Union européenne. Ce fut la rupture. Décidée par les derniers.
Quiconque veut savoir ce qui se passe en Grèce (et bientôt chez lui !) doit s’abonner à l’excellent site d’Olivier Drot, Okeanews. Il y apprendrait qu’après leur folle première semaine, Alexis Tsipras et les siens, loin de calmer le jeu, en rajoutent une bonne couche selon l’excellent principe que la meilleure défense, c’est l’attaque.
Yanis Varoufakis, ministre des finances (photo : AFP/Aris Messinis)
Connaissez-vous un gouvernement européen capable de vous présenter un bilan solide après une seule semaine d’activité ? C’est à la hussarde que le gouvernement Tsipras est entré dans le vif du sujet.
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