
Les commémorations du passé se terminent en général par une sonnerie aux morts
Commémorer le passé est souvent une manière de fuir le présent. Mais que dire quand on célèbre une défaite ? Oublions les sonneries aux morts, célébrons les vivants.
Commémorer le passé est souvent une manière de fuir le présent. Mais que dire quand on célèbre une défaite ? Oublions les sonneries aux morts, célébrons les vivants.
Les deux seules données pour vous forger une opinion et sauvegarder votre lucidité : les évolutions comparatives de la mortalité et de la surmortalité globales. Sources à entrer d’urgence dans vos favoris.
Toc-toc-toc, qui est là ? Проклятый (damned), le vaccin russe Spoutnik-V !!!
C’est comme pour la chiasse. Vous avez beau serrer les fesses, tout d’un coup les sphincters lâchent prise et le flot nauséabond se déverse sans retenue, irrépressible, torrentiel, humiliant.
Comme les ultimes orgies romaines ou les agapes des dignitaires nazis, les repas clandestins de nos ministres relèvent d’une bravade suicidaire dérisoire d’avant la chute.
Les riches meurent. Les jeunes veulent vivre. Plus d’autre alternative que de quitter le royaume des morts pour le monde des vivants.
En fait, on aurait dû se réjouir de voir un abruti contraint d’annoncer les mesures qui vont achever le monde pourri qu’il a pour fonction de défendre.
Dramatisation artificielle de la terminologie officielle, montée en épingle de chiffres à l’importance toute relative, le virus de la peur est désormais plus ravageur que le coronavirus.
La meilleure manière de précipiter la mort d’un système pourri, c’est de faire un pas de côté en laissant le crevard à ses démons. C’est bien parti.
Où l’on constate que la réalité s’écarte de plus en plus de la fiction hystérisée autour du coronavirus.
Un pot commun pour voler au secours de Néo et continuer d’assurer nos « bon weekend tout le monde ».
Seuls un effet de loupe médiatico-politique malintentionné et la confusion des esprits autour de l’effondrement systémique peut encore expliquer la paranoïa collective actuelle.
Qui, en voyant ces stades transformés en “vaccinodromes” de masse, peut ne pas penser à ces lieux où furent parquées jadis d’autres populations avant d’être conduites à leur destin ?
Un rapport rendu à l’OMS fait état de l’efficacité de l’ivermectine dans la lutte contre le coronavirus. C’était sans compter sur l’évidente volonté de nuire des autorités politico-sanitaires françaises.
Rapportée au nombre de morts par million d’habitants après un an de pandémie, le bilan est accablant pour les pays de la sphère capitaliste occidentale.
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