
Le Grand jeu : un Pacifique pas si paisible
Ça chauffe dans le Pacifique entre Pékin et Washington. Quelques archipels pourraient bien se retrouver un jour sous les feux de l’actualité.
Ça chauffe dans le Pacifique entre Pékin et Washington. Quelques archipels pourraient bien se retrouver un jour sous les feux de l’actualité.
Poutine reprend la main dans le Caucase. Bisbilles en Suède autour de la 5G. Le Baloutchistan au secours de la Chine. Navalny le disgracié.
Le coup de force des GAFAM contre Trump a transcendé les clivages et créé un malaise certain à tous les niveaux de l’échelle.
L’arrivée de Biden à la Maison blanche pourrait avoir d’intéressantes conséquences sur les BRICS et leur redonner un second souffle.
L’ambassadrice britannique aux États-Unis : il ne faut pas laisser la Chine et la Russie être les vainqueurs du monde post-covid. Trop tard.
Petit retour historique sur l’histoire du Tibet, place forte stratégique que la Chine n’entend pas lâcher.
En passe d’être détrôné, Trump s’enfonce dans ses bêtises 1/ en refusant de gracier Assange 2/ en s’obstinant contre le Nord Stream II.
Dans la grande bataille entre les trois grands, un nouveau venu a fait son apparition : le vaccin. Avantage à la Russie, une fois de plus.
Ces faiblesses de l’homme fort d’Ankara qui font perler quelques gouttes de sueur sur les fronts soucieux du Washingtonistan…
Les votes de l’Assemblée générale de l’ONU indiquent dans quel sens bat le pouls de la planète géopolitique. Exemple avec l’Ukraine…
Reprise des travaux sur le Nord Stream II, “gazoduc de la discorde” entre États-Unis et pays d’Europe occidentale.
La toute nouvelle présidente moldave, très pro-occidentale, déjà en butte à la fermeté de Moscou et à un parlement pas vraiment croupion.
Mise en échec en Libye, contestée au sein de l’Otan, vampirisée par la Chine, la Turquie d’Erdogan accumule les déboires.
Biélorussie :
– Loukachenko promet de démisionner ;
– l’opposante Tikhanovskaïa fait profil bas face à Poutine ;
– la Russie reprend la main.
Ironie de l’Histoire : Donald Trump se retrouve presque dans la même situation qu’Evo Morales douze mois plus tard.
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