
De « libre et indépendante », l’information était depuis longtemps passée à une sélection d’infos collant de plus en plus étroitement à la ligne idéologique de la pensée unique. Or voilà que sous l’impulsion d’une crise qui n’a d’ailleurs de sanitaire que le nom, un nouveau cap vient d’être franchi : la négation pure et simple, quasi forcenée, de la réalité par les médias dominants jusqu’aux pétages de plomb les plus délirants.
Quelques récents exemples de techniques médiatiques de désinformation… mise à l’épreuve cruelle de leur panique grandissante à mesure que leur monde s’effiloche !
La propagande et les fake news d’abord !
1/ La tentative désespérée de réduire les dissidents au silence
2/ L’auto-censure avec un train de retard

NB : ces deux soignants, Maria Cloarec et Pascal, alertaient sur le très faible pourcentage de malades du covid dans leurs hôpitaux [en lien avec les noms, les vidéos “censurées”, ndlr]. Inutile de vous dire que le “fastchecking” de BFM pour dénoncer leurs « propos mensongers » relevait de la désinformation, de la diffamation, de l’insignifiance.
3/ La désinformation orchestrée (un brin trop voyante)
Autre technique, la campagne de désinformation orchestrée. Ainsi celle-ci présentant des malades prétendûment atteints de covid sérieux, regrettant de ne s’être pas vaccinés, et surtout appelant tous les récalcitrants à le faire dare-dare. Problème : cette campagne apparaît simultanément dans plusieurs pays, la même semaine, avec exactement les mêmes termes.
4/ Des sondages de plus en plus sommairement pipés
Plus les médias s’enfoncent et plus ils nous inondent de sondages de plus en plus sommairement pipés… jusqu’au grotesque !


Et puis, après clôture…

Une réjouissante puanteur médiatique
Allez, arrêtons les frais. Si vous n’avez toujours pas compris, trouvez un vaccin contre la naïveté. Pour les rescapés de l’intoxication :
- oui, vous avez raison de fuir ces torchons merdeux ;
- oui, vous avez raison de tenir à distance de vos manifestations leurs “journalistes » puants ;
- oui, vous avez raison de vous réjouir de leurs pétages de plomb de plus en plus délirants.
« Encore un siècle de journalisme et tous les mots pueront » (Friedrich Nietzsche)