Le 12 septembre 2020 sans attendre la comédie sans avenir de 2022

Il suffit de regarder la une des journaux de ce weekend pour comprendre que rien, définitivement rien n’est à attendre de la présidentielle de 2022. Des figures fatiguées et fatigantes qui attendent le 8 avril 2022 comme une bouée de sauvetage pour reprendre la main, eux qui à droite comme à gauche ont été totalement largués par les mouvements sociaux de ces derniers temps, à commencer bien sûr par celui des Gilets jaunes.

La triste comédie de 2022 – demandez mon programme ! avalez mes promesses ! union, union, union ! – n’arrangera pas plus les affaires de ce pauvre pays que celles de 2017, 2012, 2007, 2002, 1995, 1988… Même 1981 fut un fiasco. Après tant d’échecs et de désillusions accumulés, 2022 touche à une énième opération de diversion menée par le vieux monde décati pour tenter de surnager. Et puis qu’attendre d’acteurs et de majorités qui avancent masqués ? No future de ce côté-là.

Un seul objectif : « la fin d’un monde, le leur, le début d’un monde meilleur, le nôtre »

2022 arrive aussi trop tard :  c’est aujourd’hui que le pays est en ruine ! Le peuple qui souffre ne peut plus attendre et doit prendre ses affaires en main. Ceux qui en novembre 2018 firent voir jaune au vieux monde cacochyme appellent à un retour post-pandémie des hostilités le 12 septembre.

Bien sûr, cette date ne suffira pas à elle seule à être décisive. Mais elle est déterminante pour mener la seule mission qui vaille : abattre le vieux monde avant qu’il ne nous abatte par des opérations de guérilla incessantes. Le 12 septembre est le signal de retour à une offensive populaire pour accompagner et précipiter une chute que les imbéciles d’en face se chargent d’ailleurs eux-même de conduire par bêtise et incurie.

Ne nous laissons pas anesthésier par leurs mauvaises comédies pseudo-démocratiques : 2022, puis après 2027, 2032… Ne perdons pas notre temps dans des discussions stériles sur le racisme des uns, le racialisme des autres. Se débarrasser des prédateurs qui nous pourrissent la vie doit être notre seul objectif. Il est plus que temps.

« On ne porte peut-être pas le même maillot mais nous avons le même objectif : la fin d’un monde, le leur, le début d’un monde meilleur, le nôtre » (Jérôme Rodrigues).

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Un voyageur à domicile en quête d'une nouvelle civilisation.