Nantes, Vaujours : l’encourageant pétage de plomb des policiers
Un comportement policier de plus en plus erratique qui témoigne d’une perte de contrôle du régime sur les évènements.
Résultats de la recherche pour «pétage de plomb»
Le bashing contre Pierre Rabhi : pétage de plomb à gauche
Gros buzz contre le « système Pierre Rabhi » et ses « dérives sectaires » initié par le Monde diplomatique et repris en boucle sur les réseaux […]
Le pétage de plomb du doyen Pétel ou la malédiction du 22 mars
Ceux qui s’émeuvent de l’action musclée du doyen Pétel le 22 mars 2018 devraient au contraire s’en réjouir. Son pétage de plomb a tout pour […]
Bilan Covid-19 : 25.000 morts sur la conscience de l’État (plus les pétages de plomb de mes “amis”)
Un bilan catastrophique pour les autorités françaises, dû à un mélange de bêtise, d’incompétence et de corruption. Avec en prime, les pétages de plomb en série de beaucoup de nos “amis”.
Ces pétages de plomb qui annoncent l’arrivée de la tempête sociale
J’avais 18 ans en 1968 et j’ai « fait » Mai 68. J’en ai 68 en 2018 et il y a peu de chances que je fasse […]
En remontant la Marne avec Jean-Paul Kauffmann
Quand votre tête déborde, que vos nerfs courent au court-circuit — et c’est peu de dire que les motifs de pétage de plomb fleurissent en ce moment dans ce pays déglingué — le mieux est de prendre ses cliques et ses claques et de sortir marcher un coup. C’est ce que je fais chaque soir en remontant la Marne avec Jean-Paul Kauffmann.
À raison de deux chapitres pas plus à la fois. Histoire de faire durer l’aventure. Et, même prise à rebrousse-courant, de se mettre au rythme de cette rivière nonchalante et si chargée de notre histoire, précisément. « Remonter la Marne », éditions Fayard, 19,50 euros.
Multiplication des appels au soulèvement, craquements en face
Un nouvel appel au soulèvement sur fond de perte de contrôle du pouvoir. Une détermination encourageante face à des craquements réjouissants.
Quand on en est là… Rappel de l’article 18 des Droits de l’homme
L’effondrement d’une société se mesure à la décomposition politique, morale, et bientôt mentale d’une bonne partie de ses membres.
Comment les réseaux sociaux précipitent la liquéfaction du macronisme
Trois exemples montrant que les réseaux sociaux ont pris le pas sur les médias et précipitent la liquéfaction du macronisme.
Gilets jaunes acte 7 : scènes de confusion, de panique et d’inconscience à la Cour
L’acte 7 des Gilets jaunes du 29 décembre fut émaillé de plusieurs manifestations de paniques… dans les allées du pouvoir et de sa cour !
Guerre de l’info : la réplique d’Aude Lancelin aux accusations de RSF ciblant Mélenchon !
Pour RSF (Reporters sans frontières), la menace sur l’information ne vient pas des quelques milliardaires qui possèdent 90 % des médias… mais de Mélenchon. Réplique […]
Guerre de l’information : la France insoumise prend un net ascendant
L’hystérie des médias et du clan Macron contre la France insoumise en cette rentrée atteint des sommets de ridicule… dont les Insoumis devraient se réjouir […]
Affaire Leonarda : chronique d’un emballement de très mauvais augure
Leonarda, la jeune Rom italo-kosovare (on ne sait plus très bien et ce n’est pas l’important) victime d’une expulsion à la hussarde, n’y est pour rien. Mais son aventure lamentable aura soudain révélé un visage bien nauséeux du pays dans lequel elle et les siens croyaient avoir trouvé refuge.
Marine Le Pen frappée par le syndrome Chantal Goya
Et si, lors de l’émission de David Pujadas, « Des paroles et des actes » sur France 2, Marine Le Pen, visiblement décontenancée par les assauts d’un Jean-Luc Mélenchon indésirable, avait été victime du syndrome Chantal Goya ?
Rappelez-vous, ça se passait le 13 décembre 1985, sur le plateau de l’émission de Patrick Sabatier, « Le jeu de la vérité ». Invitée : la célébrissime Chantal Goya, alors idole des très jeunes et de leurs grands-parents.
Catastrophe japonaise : « Les mots n’ont plus de sens »
Lundi 4 avril, après bien des atermoiements, bien des annonces tronquées, des mensonges grossiers, des promesses lénifiantes, des aveux d’échecs piteux, l’État japonais et la Tepco (opérateur privé de Fukushima) se sont résolus à déverser plus de 14 000 tonnes d’eau irradiée dans l’océan.