
Il y a une grosse différence entre une dictature forte et un pouvoir faible qui se dissout : la première utilise ses forces de l’ordre de façon rationnelle, implacable pour asservir son peuple ; dans la seconde, les forces de l’ordre égarées ne se livrent plus qu’à des actions de violence désordonnées, méchantes, inutiles, pathétiques : la violence du désespoir.
? [#ActeXVII] À Quimper, un Gilet Jaune se fait écraser ses lunettes de vues gratuitement par un CRS. pic.twitter.com/8guzuEMePC
— L’Élite voit tout (@EPrivilegie) March 9, 2019
Ce week-end #Macron conteste « toute répression » et juge « inacceptable » qu’on parle de « violences policières ».#GiletsJaunes
Nous vivons des heures sombres dans le pays des droits de l’homme ?? pic.twitter.com/YD6jthC9eQ
— ????? (@bruno_mc82) March 9, 2019
Bonjour @ccastaner et @EmmanuelMacron
Comment peut on qualifier ce genre de geste à votre avis? S’agit-il bien de maintien de l’ordre par un policier républicain, ou bien une… bavure??
A vous lire! https://t.co/dKKC9vGb2V— Guillaume QUINTIN (@GuillaumeQ1T1) March 9, 2019
Coup de matraque en passant sur quelqu’un a terre. Pas de bavures, un métier et son savoir faire. #Paris #ChampsElysée #ActeXVII pic.twitter.com/uRFUFhMKg9
— MuArF (@MuArF) March 9, 2019
#acteXVII #quimper. Les images de la honte ! On se souviendra de Macron comme d’un président ayant mutilé « son » peuple. #GiletsJaunes #Acte17 #Bretagne pic.twitter.com/QMTY5JYpMR
— Cerveaux non disponibles (@CerveauxNon) March 9, 2019
« Ne parlez pas de répression et de violences policières, ces mots sont inacceptables dans un État de droit » (Emmanuel Macron).