
Plus le temps passe et plus la réalité apparaît à travers des enquêtes de plus en plus détaillées, de plus en plus fiables. Ainsi cette synthèse de 675 études mondiales portant sur les traitements précoces contre le covid avec le nombre de leurs effets positifs.
Les pays riches du bloc occidental ont refusés tout soin contre la maladie
Mais quels soins et par qui ? Voici un graphique présentant les divers médicaments utilisés en soin précoce par pays.

Le premier constat, c’est qu’en matière de soins administrés précocement, deux traitements arrivent largement en tête : l’hydroxychloroquine (HCQ) et l’ivermectine. Chacun des traitements précoces produit des effets positifs variables, mais non négligeables (on notera cependant le flop du remdesivir).
Le second constat est que les pays dits riches du bloc occidental ont totalement fait l’impasse sur les soins précoces, allant même jusqu’à les interdire. Est-ce un hasard si ce sont ces pays qui obtiennent les plus mauvais résultats en matière de victimes du covid rapportées aux densités de population ?

HCQ : très efficace en traitement précoce, moins en traitement tardif
L’HCQ est le médicament de loin le plus utilisé contre le covid dans le monde (cf. le nombre de carrés dans le graphique précédent). Le plus étudié et le plus surveillé aussi : 248 études portant sur 378 812 partients.
La synthèse de toutes ce enquêtes montre que l’Ivermectine produit des effets positifs dans tous les cas de figure :
- très bons résultats en traitement précoce : 66 % d’amélioration ;
- résultats médiocres en traitement tardif : 22 % d’amélioration (ce qui correspond bien aux constats du Pr Raoult… dont ne tinrent aucun compte les tests menés dans les pays du bloc occidental) ;
- gain de mortalité : 75 % (chiffre absent du tableau ci-dessous, mais indiqué dans le texte du rapport).

L’ivermectine est efficace aussi bien en traitement précoce que tardif
L’Ivermectine est apparue assez tard dans le traitement précoce du covid, d’où une utilisation bien moindre que l’HCQ et forcément bien moins d’études : 57 études portant sur 18 611 patients. Difficile par conséquent de comparer avec les résultats de l’HCQ. Mais les performances obtenues avec l’Ivermectine selon ces 57 premières études sont remarquables à bien des égards :
- très bons résultats en traitement précoce : 78 % d’amélioration ;
- résultat pas si mauvais en traitement tardif : 45 % d’amélioration ;
- gain de mortalité : 72 %.